Hey Chingu! J'ai encore des trucs a te dire!
✱ je danse depuis mes seize ans, je suis assez douée. mais, je n'ai jamais pris des cours, j'ai tout appris toute seule.
✱ j'aimerai me refaire blonde et me teindre les cheveux en bleus.
✱ je suis un vrai garçon manqué dans ma tête ; j'adore le skate, les films de fesses ou d'horreur, les jeux vidéos. mais sinon, j'aime faire des trucs de filles. en fait, je suis ni une fille, ni un garçon ; je suis neutre les lapins.
✱ j'ai la phobie des aiguilles/piqûres, je me sens vraiment mal quand j'en vois.
✱ je passe des heures et des heures à m'entraîner, il m'arrive de ne pas dormir de toute la journée.
✱ j'ai toujours un rubicube sur moi, dès que je vais mal je m'en sert et ça marche.
✱ j'ai déjà été en couple, mais à cause de ma carrière, ils m'ont tous laissés tombés. depuis, j'ai quelques histoires d'un soir, mais rien de sérieux.
✱ j'aime donner des surnoms à toutes les personnes que je connais.
✱ je sais parler couramment le japonais, l'espagnol et le français.
✱ je voue un énorme culte à Shakira, c'est la perfection oui oui.
✱ j'ai été en surpoids jusqu'à mes quinze ans, j'étais la cible favorite de tous mes camarades de classes. je me mutilé chaque soir sans jamais en parler à personne. à mes quatorze ans, j'ai fais une tentative de suicide qui m'a conduit à l'hôpital.
✱ j'ai une cicatrice sur le sein droit et sur le poignet gauche.
✱ je suis incapable de dormir toute seule. j'ai toujours besoin de quelqu'un.
✱ je passe des heures et des heures sous l'eau chaude. dès que je vais à la douche, je suis obligée de mettre de la musique. puis, quand j'ai envie, il m'arrive de chanter sous la douche.

Des insultes, des critiques. C’était toujours la même chose. Plus les jours défilaient, plus cela empirait. Depuis toute petite, j’étais en surpoids. J’étais, certes, différente, mais ça n’empêchait pas que j’avais un cœur. Mes camarades de classes ne m’aimaient pas et ils me le faisaient savoir. J’essayais de paraître forte devant eux, mais en réalité je souffrais énormément. Je n’en parlais à personne, non. Je ne voulais pas avoir encore plus de problème. Chaque soir je m’enfermais dans ma chambre et je faisais des choses horribles ; je me mutilais. J’ai commencé à le faire à onze ans, c’est jeune je sais. La première fois, j’avais pris une lame de rasoir et l’avait faîtes glisser sur mon bras, j’avais eu mal mais je me sentais bien. J’ai continué chaque soir, mais je ne m’arrêtais pas à une simple lame de rasoir, non. Je me servais de toute chose qui pouvait couper, certains se droguer. Moi, à l’époque, ma drogue c’était ça. Je ne me sentais pas bien et mes parents ne comprenaient pas ce qu’il m’arrivait. J’étais passé de la petite fille adorable et toute mignonne à une fille renfermée et rebelle. Ils disaient que c’était l’adolescence et que cela allait passer. Mais non, ils se trompaient. Chaque jour, mes camarades de classe trouvaient quelque chose de diffèrent pour me faire du mal, me voir souffrir les faisaient rire. Je ne savais pas comment réagir, de plus mes amis, le peu que j’avais, ne m’aider pas vraiment. Je me retrouvé seule et je me sentais mal à l’école. Très mal et personne à qui parler. Je me suis mise à écrire dans des carnets, je racontais chaque détail des journées que je passais. Dès qu’une personne rigolait, je pensais qu’elle se foutait de ma gueule. C’était horrible cette sensation d’être observé pendant qu’on faisait quelque chose. J’étais une bonne élève, mais mes notes chutaient de jour en jour, lors des examens je me retrouvais à chaque fois dernière. Mes parents étaient très en colère, ils m’ont mêmes criés dessus mais cela ne me faisait rien. C’était plutôt gentil comparé à ce que les autres m’infligeaient. Le soir, je n’ai même pas versé une seule larme et je continuais à martyriser mes bras. Plus je grandissais, plus j’étais insultée et critiquer. Ce que les gens peuvent être stupides. Le jour de mes quatorze ans, j’ai été vraiment stupide de faire ce que j’ai fait. Je revenais de classe, mes camarades de classe m’avaient enfermés dans les douches et m’avait lavé. En rentrant chez moi, j’étais toute mouillé et désespéré. Je n’avais plus envie de faire des efforts, personne n’était chez moi ce jour-là. J’habitais dans un appartement, les seules personnes que je connaissais étaient des personnes âgées. Ce jour-là, j’ai cru que tout était fini, j’ai cru que cela ne ferait de la peine à personne si je disparaissais à jamais. Je sortis une lame de rasoir de ma poche et là passa une dernière fois sur mon poignet gauche et au niveau de ma poitrine, avant de mettre les pieds sur le bord du toit. Je voyais toute la ville, il faisait encore jour et quelques voitures circulaient. J’avançais petit à petit, et ferma mes yeux. Les larmes commencèrent à envahir mon visage, j’avais mal, très mal. Plus les minutes passaient, plus je me sentais bien. Se sentir bien, alors qu’on était sur le point de sauter ? Etrange. J’entendis des cris de personnes, j’ouvris mes yeux et aperçu mes parents en bas de l’immeuble. Je m’en fichais de ce qu’ils pouvaient penser, ils n’avaient pas été capables de deviner pourquoi j’avais changé. Puis, ils n’étaient jamais présents pour moi, ma mort ne les marquerait pas et j’en étais persuadé. Lorsque j’étais prête à me laisser aller, quelqu’un tira mon bras en arrière et me fit reculer. Je ne reconnus pas la personne à cause de mes yeux qui étaient remplis de larmes. Suite à mes « blessures » et tout ce qui était arrivé en peu de temps, je m’évanouie dans les bras de cette personne. Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais dans une chambre… d’hôpital ? Quelqu’un serrait ma main. Celle-ci était étrangement humide. Lorsque je me redressais, mes parents et un inconnu étaient à mes côtés. Mes parents pleuraient, c’était bien la première fois que je les voyais ainsi. Mon regard était fixé sur l’inconnu, qui c’était ? Mes parents m’expliquèrent qu’il m’avait, en quelques sortes, sauvé. Pourquoi avait-il fait cela ? Je fixais mon poignet, j’avais un pansement dessus et j’en avais aussi un au-dessus de mon sein droit. C’était le bon moment pour tout avouer à mes parents, ils allaient tout savoir. Cela m’avait fait du bien de parler de tout cela à des personnes, oui.  C’était bête, mais cette journée était magique. J’avais rencontré un charmant inconnu, qui habitait dans le même immeuble que moi et qui venait d’arriver ici. C’était même mon nouveau voisin, j’avais de la chance d’avoir un mec aussi beau en voisin. Puis, mes parents étaient restés avec moi toute la journée, j’avais pu me confier à des personnes dignes de confiance. En sortant de l’hôpital, je suis allée voir un docteur qui m’a conseillé un régime pour me sentir mieux dans ma peau. J’ai mis du temps à m’y faire.  Il m’est arrivé d’abandonné pendant des semaines pour reprendre juste après. C’était difficile mais je devais le faire, pour moi. Je n’étais pas seule, mes parents étaient là ainsi que mon charmant voisin. De plus, celui-ci avait intégré mon collège ainsi que ma classe. Plus personne n’osait me critiquer ou me faire du mal, et si quelqu’un le faisait mon voisin me protégeait.
Des mois plus tard, j’avais enfin le corps dont j’ai toujours rêvé. J’étais maintenant âgé de seize ans. Même si j’avais abandonné par moment, chaque fois quelqu’un me motivait à réussir ce régime. Je venais d’intégrer le même lycée que mon voisin, c’était étrange. J’étais entourée d’amis et certains garçons étaient à mes pieds. Alors qu’avant, tout le monde me critiquaient, je n’attirai aucun hommes. Le physique est-il si important que cela ? J’ai toujours cru que ce qu’il comptait c’était le mental, mais je me trompais. Au fur et à mesure, je commençais à éprouver des sentiments très forts pour mon voisin, je le voyais tous les jours et à chaque fois, c’était dur de le quitter. D’habitude, nous avons pris l’habitude de rentrer ensembles, mais cette fois-ci nous étions tous les deux de corvées. Je nettoyais les fenêtres tandis que lui nettoyer le tableau. Je ne pouvais pas m’empêcher de me retourner et de le regarder. J’avais des cœurs à la place des yeux. Ce type était juste parfait, même en nettoyant un tableau il était beau. Je me retournais et je continuais de nettoyer les vitres, j’étais fatiguée et j’avais mal aux bras, je fis une pause en fermant mes yeux. Je ne sentais plus mes bras, quelques minutes plus tard, je sentis la main de quelqu’un se poser sur la mienne pour éviter que le chiffon plein de produit me tombe sur la tête. C’était lui. Lorsque je me retournais, son visage était si prêt du mien. Ce fût à ce moment précis que nous échangions notre premier baiser. Lorsque je rompis le baiser, mon visage devint tout rouge. Mon regard était plongé dans le sien, je me retournai et continua à nettoyer la fenêtre, le sourire aux lèvres. J’étais heureuse, oui c’était le mot. Le soir, nous sommes rentrés ensembles, mains dans la main. Je ne faisais que sourire, sa main était toute chaude. J’espérais seulement que la mienne n’était pas moite. En arrivant devant chez moi, j’hésitais à lâcher sa main, c’était difficile de le laisser. Il sourit et nous nous embrassèrent à nouveau. Le soir, j’étais allongée sur mon lit, le visage tout rouge et mes mains sur mes joues. Je ne faisais que repenser à lui, je mis mon coussin sur mon visage et me remémora cette scène, où il m’avait embrassé. Je m’enroulais dans ma couverture, comme un sushi et mit ma tête sous mon oreiller. « Mon Dieu… ça doit être un rêve… » Je me mis à me pincer le bras, mais non ce n’était pas un rêve. Alors, un sourire apparu sur mon visage ; aujourd’hui aura été une journée magique. Le lendemain matin, lors du déjeuner ma mère fût surprise de me voir d’aussi bonne humeur. Je lui ai donc expliqué tout ce qui s’était passé hier et elle fût heureuse de voir que je m’entendais si bien avec le voisin. Mon père rentra avec son journal en me disant que le voisin m’attendait dehors. Je me pressais donc et sortit de chez moi pour rejoindre mon… petit-ami ?  Oui c’était ce qu’il était pour moi. En classe, nous nous envoyions des petits mots, le professeur nous a surpris et nous avons fini puni dans le couloir. L’après-midi, au lieu d’aller en classe, nous sommes restés sur le toit à parler, à s’embrasser et à se faire pleins de câlins. Ce type me rendait folle. Il m’avait aussi parlé de sa passion, qui était la danse. Lorsqu’il s’était mis à danser devant moi, j’étais à deux doigts de faire un arrêt cardiaque. J’ai voulu qu’il m’apprenne à danser, puis sans vouloir me vanter, j’ai appris assez vite puis je me débrouillais pas mal. Chaque jour passé à ses côtés étaient merveilleux, je l’aimais. Puis, nous sommes restés ensembles pendant deux ans. Deux années de bonheur. J’ai été stupide de croire que c’était l’homme de ma vie, que nous aurions la même histoire d’amours que mes grands-parents. Un soir, lors de mes dix-huit ans, je revenais d’une audition pour une agence célèbre en Corée Du Sud. Depuis que j’avais appris à danser et à chanter, je ne m’étais pas arrêter et j’avais travaillé pendant tout ce temps. En rentrant, devant l’immeuble j’ai vu une fille et… lui en train de s’embrasser, et de se tripoter. Lorsqu’il m’a vu, il a de suite repoussé la fille en me disant de l’écouter, mais il ne pouvait pas me mentir, tout était là, sous mes yeux. Je n’avais servis que de passe-temps, il me dégoûtait. Une bonne gifle et des cris pour mettre fin à notre relation, qui avait été si belle. En rentrant, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Comment avait-il pu faire ça ? Jouer avec moi avait été si marrant ? Il s’ennuyait avec moi ? Un tel mec ne devrait pas existé sur cette terre. Pourquoi m’avait-il fait ça ? Le soir même, j’ai ignoré ses appels et ses messages. Je l’ai supprimé de mon portable, des réseaux sociaux et j’ai mis dans un carton toutes nos photos ensembles et tous les cadeaux que nous nous étions faits. Je n’ai pas pu sortir avec un mec comme ça, mais il fallait que je me rende à l’évidence : ce type me rendait folle et je ne pouvais pas arrêter de l’aimer. Malgré le fait que je l’ai supprimé de mon téléphone, le soir j’ai dormi avec son t-shirt et j’ai relu tous ses messages. Le plus dur a été le lendemain, il était venu sonner chez moi avec un bouquet de fleurs. Ce que j’ai fait avait été horrible, mais je l’avoue. Je m’étais pointé, j’avais pris son bouquet et l’avait complètement ruiné. Pour la première fois de ma vie, je l’avais vu triste et énervé. Il est parti. Je l’avais perdu… Mon premier amour était partit et je ne le reverrai plus…
« Maman ! J’ai réussi l’audition ! » M’écriais-je en rentrant chez moi, toute contente. J’avais tellement crié fort que j’étais persuadée que les voisins avaient entendu. Mais ce n’était pas grave ; j’étais vraiment heureuse ! Le soir même avec mon père et ma mère nous avons longuement parlés de ce qu’il risquait de m’arriver si je devenais célèbre, mais je me fichais de ce qu’il pouvait me dire : je pouvais enfin faire ce que je voulais ! Mes parents essayaient de m’arrêter, mais moi je n’en faisais qu’à ma tête, comme à chaque fois. Ils ne voulaient pas être séparés de moi, mais je les ai rassuré en leur disant que rien n’allait changer et que je leurs téléphonerai dès que je le pouvais. Je me suis endormie le sourire aux lèvres, tout en pensant à ce qui allait m’attendre le lendemain matin. Le jour d’après fût un jour merveilleux, j’ai pu commencer à m’entraîner dans l’espoir de devenir célèbre un jour. Je me suis perfectionnée en chant, en danse et j’ai dû m’entraîner à danser avec des talons. C’était simple, sauf quand les chorégraphies étaient difficiles, mais je m’en sortais pas mal. Ma formation n’a duré qu’un an et quelques mois, et j’ai pu intégrer un duo mixte du nom de Byeol&Shik. Mes parents n’ont jamais cessé de m’encourager via téléphone ou par les réseaux sociaux, ils ont toujours étaient présent pour moi. Je savais qu’ils habitaient toujours dans cet immeuble pourri, mais dès que j’ai gagné de l’argent, je leur ai payé une belle maison. Dès que je gagne de l’argent, je fais plaisir à ma famille, j’en donne à des associations et s’il m’en reste, même un tout petit peu, je m’en sers pour m’acheter des nouveaux habits pour mieux danser. D’ailleurs, il faudrait que je pense à m’acheter de nouvelles chaussures, car les miennes commencent à se faire vieilles. Il faut que je le dise, mais mon ex me manque énormément. Je m’en veux d’avoir été horrible avec lui, mais s’il n’aurait pas été voir une autre fille, ce n’aurait jamais fini comme cela. Dans le dortoir, j’ai toujours ce fameux carton avec tous nos souvenirs, je dors toujours avec son t-shirt. Je crois que je ne pourrais jamais l’oublier et je ne sais pas vraiment comme je réagirais si je devais le revoir… Je pense que je serai heureuse, mais aussi énerver. Je n’ai jamais compris pourquoi il est allée voir ailleurs, il faudra bien que nous parlions de tout cela ensembles, oui je suis toujours amoureuse de lui.

« Hey, tu connais la blague du serpent qui faisait du vélo ? C’est l’histoire d’un serpent qui faisait du vélo, mais il n’avait pas de jambes du coup il tombe hahaha ! » Rien qu’en lisant cela, vous êtes fixés. Mary = fille avec un humour pourri, mais au moins j’arrive à me faire rire, c’est déjà cela. Certes, des fois mes blagues sont nulles, mais pas toutes ! Je suis plutôt une fille rigolote, qui ne manque pas d’humour. Avec moi en amie, on ne s’ennuie jamais, je vous le promets. De nature déjantée, j’ai des rêves plutôt étranges. Comme faire des enfants aux éléphants, voir la reine de fourmis ou encore chercher une bonne maison de retraite. Car oui, je n’ai que vingt-et-un ans, mais je pense déjà à ma vie de grand-mère ! J’ai toujours la forme, il est rare de me voir déprimée ou en train de pleurer. Cela ne m’empêche pas d’être sensible, je pleure facilement devant un film triste. Par contre, je déteste les films romantiques, je préfère les films d’actions, de fesses et d’horreurs. Mais dis-toi bien, que même si je rigole tous le temps, si tu vas mal, grand-mère Mary sera toujours là pour toi, je suis prête à jouer la psychologue juste pour toi mon petit chou à la crème. Je suis toujours là pour ceux qui me sont chers, et on ne pourra pas me changer. Je suis de nature têtue, si j’ai quelque chose dans la tête ce sera difficile de me l’enlever, compétitrice, je relève toute sorte de défis, qu’ils soient stupides, pas net ou intelligents, je suis toujours la première à accepter, et je me fiche d’avoir l’air stupide. Il est aussi rare de me voir sérieuse, il n’y a qu’une chose que je prends au sérieux : mon métier. Sur scène ou même lors des entraînements je suis très sérieuse, même dès fois je suis trop sérieuse. Je n’aime pas voir les autres pleurer, c’est quelque chose que je déteste. Il y a quelque chose qui me fait énormément souffrir, mais je n’en parle jamais. C’est bien ma rupture avec mon tout premier copain, j’en souffre énormément et je n’en parle pas à tout le monde. Je suis toujours mal à l’aise quand une personne me fait des avances, étant en surpoids jusqu’à mes quatorze ans je n’ai pas eu l’habitude d’être complimenter et qu’on me séduise. Mais j’y ai pris goût et pour compenser, j’ai enchaîné des histoires d’un soir, sans jamais avoir une autre histoire sérieuse. Puis, dès qu’ils apprenaient que j’étais une célébrité, ils m’ont tous laissés tomber de peur d’être agresser par les médias ou se faire la une des magazines. Mais même si il se fichait de cela, je n’aurai jamais pu sortir plus d’une semaine avec lui. Pour la simple et bonne raison que je n’ai jamais réussi a oublié mon ex petit-ami et que je l’aime toujours autant, je ne pourrai jamais l’oublier, c’est comme ça. On dit de moi que je suis rancunière, en effet si quelqu’un me « trahit » ou dit quelque chose de mal sur moi, je le prendrai très mal, même si cette personne s’excuse, je ne pardonnerai pas rapidement. Je suis de nature bordélique et râleuse, ma chambre est en bordel pas possible, je pense que je n’aurai jamais une chambre bien rangée. Puis, je me plains souvent, j’ai beau faire des efforts, mais j’ai toujours quelque chose à dire. Sinon, j’ai un autre petit défaut, je n’arrive pas à dormir toute seule. J’ai toujours besoin de quelqu’un avec moi, sinon je n’arrive pas à dormir. Puis aussi, je parle dans mon sommeil et il m’arrive de me déshabiller. Il m’arrive aussi de me balader à poils dans le dortoir, je suis loin d’être pudique, loin de là. D’ailleurs, je rêve d’aller à une plage de nudiste un jour. Sur ce, à dans vingt ans mes loutres !

Derrière mon écran, je suis Breath/Elsa, j'ai douze ans, mais bientôt treize mon coco.. Si je dois noté ma présence sur le forum ça serait: six jours sur sept. Et pour finir, ce que je pense du forum est fvhgtmeldbyuoigjtbgunrhgfghutoigo. ♥ ; je tiens à dire que je sais que c'est pas le bon endroit maaais ; je suis une biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiig BBC. tout ce qui se ramène avec un Block B, je lui fais sa fête jusqu'à sa mort..