Ma Cally d’amour ! ♥ A la base collègues de travail, le courant est très bien passé entre nous deux. Tantôt à bosser sérieusement dans nos domaines respectifs, tantôt à faire des conneries dès que l’occasion se présente… Je t’adore, tout bonnement. Notre dernière bêtise en date ? Faire tourner Nat’ en bourrique. Comme si le fait que je me fasse passer pour un mec avec lui ne suffisait pas, il a fallu que tu remues le couteau dans la plaie en disant que j’étais ton petit-ami. C’est vilain, mais qu’est-ce qu’on peut rire à parler de cette situation !

Je sais pas si je dois chanter la gloire de ton existence, ou non. Par je ne sais quel miracle (?), tu as remarqué l'intêrét que je porte à ton frère. Le truc, c'est que je crains que tu te méprennes sur mon intérêt à l'égart de ton cadet. Tu as décidé de me donner un coup de pouce pour qu'il réalise que j'existe, maaaais... Je ne suis pas une groupie, prends en conscience ! Je suis fan de sa musique, mais ça s'arrête là. Être une groupie n'est pas dans ma nature, et je prie pour que tu ne fasses pas de gaffe et ne racontes pas n'importe quoi à ton frangin !

Notre relation est bête et méchante, et je pense que tu en as conscience. Mais en même temps... C'est tellement stimulant ! Je suis du genre têtue, persévérante et adonnée à mon travail, donc tu ne me surpasseras pas ! On est toutes les deu stylistes à la NG, mais nos styles respectifs de vêtements sont très différents. Je sais que tu en veux aussi, et que tu ne me laisseras pas avoir plus d'adicts que toi... Mais c'est la même de mon côté ! QUE LA COMPET COMMENCE, RIVALE !

Je crois qu'on peut dire que toi et moi, on est de sacré calamités... On forme un petit peu le duo infernal de la NG, à nous deux ! Et pourtant, c'est parfaitement involontaire... Et pour cause, ce qui fait que nous sommes ce fameux duo, c'est notre maladresse. De nous deux, je ne sais pas laquelle est la plus gauche. Sûrement sommes nous au même niveau ! A chaque fois que l'on en vient à bosser ensemble, on est obligées de se rétamer, de renverser un truc, de déchirer un vêtement, ou je ne sais quoi ! Je ne compte plus l'étendu de nos dégâts, honnêment. Même si ça me rend chèvre des fois, je me suis prise de sympathie pour toi, et je dois admettre que nos gaffes intempestives me font rire (nerveusement ?) à force !

Tu es une mannequin en herbe, et c'est moi qui suis principalement en charge de ce que tu portes. Travailler avec toi est un vrai régal, mais j'ai réalisé il y a peu de temps que je ne te connaissais pas vraiment. Ce sont dans des circonstances un peu particulières que nous avons appris à nous connaître un peu mieux. Nous étions enfermées dans notre salle de travail habituelle, tu as fait une crise de claustrophobie. J'ai essayé d'engager la conversation pour te détendre, et on a un peu parlé... Tu as par la même occasion découvert que j'étais une fille, haha ! En tout cas, j'ai réalisé que j'aimerais apprendre à mieux te connaître. Vraiment. Peut-être dans un contexte moins tendu la prochaine fois ?

Tu as beau m'agacer prodigieusement quand tu te payes ma tête à cause de ma maladresse qui fait souvent des siennes... Je t'adore mec, sérieux ! T'es sûrement la célébrité avec qui j'aime le plus bosser ici. Tu as un style complétement décalé et original, tout ce qu'il faut pour me plaire -vestimentairement parlant. C'est un vrai plaisir de causer chiffons avec toi, et on n'a jamais de mal à accorder nos violons quand le moment est venu pour moi de te confectionner des fringues, que ce soit pour tes shootings ou tes apparitions sur scène ! Alors sérieux, ça m'emmerderait de me prendre la tête avec toi pour tes vannes sur ma gaucherie... J'aime trop m'occuper de toi !

Je ne te connais pas très bien, mais je n'ignore pas ta réputation. Tu es le genre de gars qui essaye de se servir de tout le monde, sans l'ombre d'un scrupule... Et même quand j'ignorais encore ces échos, je n'ai pas manqué de me rendre compte que t'as essayé de me faire marcher ! On me l'a fait pas à moi, qu'est ce que tu crois ? Maintenant, j'aime bien me moquer plus ou moins gentiment de ton petit manège, mais je reste méfiante à ton égard, tout de même. Tu m'inquiètes. A force de jouer avec le feu avec n'importe qui, tu risques de te brûler les ailes à un moment ou à un autre.

Je... Tu... Non rien ! Oui voilà, ça résume assez bien ce que je serai capable de te dire. Je ne sais même pas si tu as conscience de mon existence, c'est navrant hein ? Pourtant, je suis tellement fan ! J'aime ce que tu fais, mais je suis même pas foutue de te le dire. Je crois que la seule façon que j'aurais de t'adrsser la parole, ça serait pour te faire des recommandations vestimentaires. Et encore ! Je sais même pas si j'en serai capable, c'est frustrant ! Je crois que je me trouverai surtout prodigieusement stupide si je venai te parler juste pour causer chiffons...

Je dois admettre que je m’amuse follement avec toi. Tu crois dur comme fer que je suis un mec… Et j’aime ça ! Déjà, ça me flatte ; j’ai toujours voulu me faire passer pour un homme, et avec toi ça fonctionne ! On s’entend comme larrons en foire, on discute souvent, et c’est avec un amusement certain que je t’écoute parler de tes peurs et de tes stéréotypes sur les femmes. Néanmoins… Si jusqu’à là, c’est toi qui est pris dans un piège, je crains quelque part d’être prise moi-même par cette plaisanterie. Mine de rien, je suis susceptible et impulsive, et si tu venais à franchir une certaine limite dans tes propos sur les femmes, ça pourrait bien faire des étincelles… Même si je ne le souhaite pas, parce que j’t’aime bien, mec !

« Aide ton prochain. », comme disais l’autre ! Je suis pas du genre à laisser les autres dans l’embarras, et quand je peux aider quelqu’un, tout aussi inconnu au bataillon soit-il, je le fais. Et ce même si ma carrure n’aide pas vraiment à en imposer… Mais en l’occurrence, quand j’ai vu qu’on venait te cherchait des noises et que tu ne semblais pas t’en sortir, je me suis approchée dans l’espoir de t’aider. Visiblement, ma seule présence a suffi à ce que cette bande de voyous s’en aille la queue entre les jambes. La classe, non ? Ha, si seulement… J’ai a peine eut le temps de te demander si tout allait bien, et que t’appelles des potes à toi, pour que d’autres se ramènent en plus grand nombre. J’ai rien demandé moi ! Heureusement, les comptes ont été réglé sans que dégât me soit fait, mais… Je vais finir par croire que j’ai un don tout particulier pour me mettre dans le pétrin jusqu’au cou. Depuis, j’ai comme l’impression que te laisser m’approcher me porterait la poisse, donc restes loin, je t’en prie !!