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Je suis une idole, aimez-moi ♥
Cho Min Huan

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Je suis une idole, aimez-moi ♥


•• Mes notes : 277
•• J'habite : Jung-gu
•• Métier : Chanteur

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MessageSujet: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyDim 10 Mar - 14:07

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 ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..




 


    « Pardon, on m'avait pourtant assuré que ce serait Summer Yong Jae-ssi... » Cette phrase résonnait dans ma tête, comme un mauvais refrain dont on arrive pas à se défaire. Je ne voyais pas du tout pourquoi Hyo Lin le préférait à moi, pour tout dire ça m'agaçait carrément. J'étais aussi voire plus célèbre que lui, j'étais grand, je chantais bien et j'étais beau. J'étais gentil, et je faisais preuve d'altruisité (ah, ce n'est pas comme ça comme dit ? Altruisme ? Tiens donc.) Je rentrais parfaitement dans les critères que toute femme normale devrait avoir pour son idéal masculin. Mais ça forcément, j'étais le seul à en être conscient ! Ce serait trop beau sinon ! Ah non mais franchement, où-ce qu'il allait, ce monde ?

    En plus, j'avais dû revenir à l'agence, oui. Mais seulement pour faire un shooting en rapport avec l'émission. J'avais l'impression que ça avait commencé il y a des semaines, alors que la première n'était en réalité même pas terminé. Non, je n'exagérais pas. Le temps passait terriblement lentement, et en plus, j'avais encore combien... 20 ? 25 jours à faire là-dedans ? Dire que je n'étais pas satisfait, c'était sincèrement un euphémisme. Mais je n'avais pas le choix, je n'avais pas envie de me faire radier, donc il fallait pour en ajouter une bonne couche à mon agacement, que je sois gentil avec Hyo Lin, pour que les choses se passent au mieux. Non mais LA BLAGUE.

    « Yong Jae-ssi ne devrait pas tarder à arriver, il doit aussi faire un shooting ici. Donc, dépêche toi de libérer les vestiaires, Min Huan-ssi. »
    « Parce qu'il fait des shooting en plus ? Est-ce qu'il y a quelque chose qu'il ne fait pas ce mec ? Pffteuh.  » Jaloux ?

    Pas. Le. Moins. Du. Monde.

    La styliste me regarda avec de grands yeux, comme si je venais d'une autre planète. Je fronçais les sourcils : « Non mais sérieusement, de toi à moi... Il fait peur non ?  » Je demandais en croisant les bras, mais la demoiselle se contenta de s'incliner et de me dire que je ne devrais pas parler ainsi des autres. Un petit sourire étira mes lèvres. Elle ne faisait que me donner raison en réagissant de la sorte. Summer Yong Jae foutait la trouille à tout le monde, j'en étais persuadé maintenant. Mon rôle était de mettre fin à ce règne. Mais...

    Plus tard, car là je devais aller me changer. Quelle plaie.

    Je me dirigeais vers les vestiaires, et enlevais ma chemise, pour enfiler mon t-shirt : « Yong Jae-ssi par ci, Yong Jae-ssi par là... Ce gars-là ne vaut pas deux clous, pourquoi est-ce qu'on le compare à moi ? Pourquoi est-ce qu'on le préfère à moi ? Non mais... Je me tournais, et mon teint devint blafard, tandis que je déglutissais avec peine. Je parie que vous savez déjà tous qui se tenait dans l’entrebâillement de la porte : A-ah... Tu étais là Yong Jae-ssi..  »

    Euh... Et maintenant, je faisais quoi ? °°


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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyDim 10 Mar - 18:46

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 ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..




 

Grosse journée que celle en perspective. Mais aujourd’hui, j’arrive à me lever du bon pied, chose rare ! La principale raison n’est autre que cette fois-ci, je ne suis pas réveillé par le boucan infernal d’un Gabriel Godzilla qui descend les escaliers, mais le son grésillant d’une musique pop qui s’élève de mon radio réveil. Soupirant le temps de reprendre mes esprits, je laisse la mélodie envahir la pièce le temps que je ne me redresse et m’étire rapidement. Si le simple concept de réveil peut en faire râler plus d’un, je vous assure qu’entendre de la musique plutôt que la légèreté pachydermique de mon cadet en guise d’éveil est plutôt agréable. Malgré la petite entente dont nous avons convenus l’autre jour pour éviter de nous bouffer le nez tous les jours, nul doute que j’aurais tout de même crié s’il ne venait pas à faire d’effort niveau discrétion matinale. Bref. Encore un peu endormi, je file directement sous la douche pour finir d’émerger, dont je sors quelques dix minutes plus tard pour me préparer et prendre un petit-déjeuner digne de ce nom. C’est alors aux alentours de neuf heures trente que je quitte la demeure familiale, histoire d’arriver tranquillement à la NG dans la prochaine demi-heure. Le temps du trajet, j’ai le temps de savourer une cigarette, écouteurs vissés aux oreilles, tout en pensant au programme de la journée. Vu le lancement imminent des MOB, mon emploi du temps déjà bien chargé se trouve plein à craquer. Je suis de fait obligé de mettre ma carrière d’acteur et de chanteur solo en suspens, le temps que le groupe soit bien lancé… Ce qui ne m’empêche pas de continuer à écrire quelques textes que je retravaillerai certainement plus tard. En tout cas, pas de musique pour ce matin, de quoi me changer un peu les idées. C’est un shooting promotionnel qui m’attend pour cette matinée, en somme rien d’exténuant… Heureusement, vu ce qui m’attend l’après –midi. Mais je ne râle pas outre mesure, songeant que c’est moi qui ai décidé de signer ce nouveau contrat. Je sors de mes pensées pour jeter un coup d’œil à ma montre, et accélère un peu le pas pour être sûr de pouvoir prendre mon temps dans les vestiaires.

C’est quelques cinq minutes plus tard que j’entre finalement dans le hall. Je me dirige vers l’accueil, on me donne alors mon planning finalisé, bien que je le connaisse déjà. Je déglutis en voyant le manque cruel de temps de pause, tout en avançant vers les vestiaires ou les différentes tenues que je dois enfiler sont sûrement déjà exposées. J’arrive au lieu-dit, mais entendant des voix sortir de la salle en question, je m’arrête. Sans que je sois du genre curieux, je me mets tout de même à écouter la conversation, entendant mon nom prononcé. Une voix qui m’est peu familière annonce de but en blanc que je fais peur, avant qu’une voix moins assurée prit son interlocuteur de ne pas tenir de tels discours, avant de se retirer. L’autre voix continue à pester, tandis que je m’arrête cette fois dans l’encadrement de la porte. Un jeune homme de grande taille, la silhouette élancée, que je pense reconnaître comme étant celle de Cho Min Huan, une célébrité. Il se retourne rapidement, et son expression arrogante laisse place à une moue intimidée en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Du calme Yong Jae… Ne laisses pas tes instincts de cogneur reprendre le dessus. J’ai un regard froid pour le jeune homme en face de moi, tandis qu’un sourire discret, et sûrement doucement inquiétant arque mes lèvres. Je reste appuyé sur l’encadrement, en disant doucement ; « Bonjour Min Huan. » Je me redresse tout aussi calmement avant d’aller déposer ma veste sur un crochet au mur, au-dessus d’un banc. Je me retourne vers mon vis-à-vis, reste silencieux. Agir avec froideur, plutôt que s’énerver, comme me l’as appris Lee Jin… Et à avoir entendu les paroles de ce jeune homme, ce dernier est victime de jalousie. De à me laisser casser du sucre sur le dos, hors de question. J’hésite à me montrer mielleux… Même si ça ne me correspond pas vraiment. Je foudroie mon vis-à-vis du regard avant de reprendre la parole ; « Comment se passe ta carrière ? » dis-je sur un ton glacial, avant de reprendre sans lui donner le temps de répondre ; « Elle ne doit pas te prendre trop de temps, si tu as le temps de fulminer sur les autres. Tu préfères que je te laisse peut-être ? » Et dire que je me pourrais me complaire dans l’idée que je l’intimide…

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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyLun 11 Mar - 15:18

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 ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..




 

    Je n'étais pas jaloux, oh ça non : il n'avait rien d'enviable. Rien du tout, et si je me mettais à le juger comme s'il était mon égal, c'est moi qui perdais. Et il était hors de question que je me rabaisse juste parce que cette fille sans goût était fan de lui. Je valais bien mieux que lui, et si je ne parvenais pas à le lui faire comprendre, et bien soit, qu'elle reste dans sa bulle de fanatique, je ne m'en porterais pas plus mal. Cela ne m'empêcherait pas de dormir ce soir.

    Mais tout de même, je ne voyais pas ce que tout le monde lui trouvait. Voilà pourquoi j'essayais d'en apprendre un peu plus sur l'opinion des autres à son sujet. Il avait une aura oppressante, un regard qui mettait mal à l'aise et... trop de muscles, voilà ! Un homme avec trop de muscles, ce n'était pas attrayant. Et quand bien même ça le serait : à mon sens, il n'avait rien qui lui donnait un tant soit peu de valeur.

    Je tempêtais donc, car en plus d'être considéré comme mon égal, j'étais obligé de me presser parce que mon-sieur avait un shooting. Eh, c'était quand même moi le sunbae dans l'histoire, il n'y avait donc personne qui me vouait un peu de respect dans cette agence ? Pfft.
    Je tirais sur mon t-shirt avec agacement, et me préparais à partir jusqu'à ce que je me retrouve face à Summer Yong Jae, lui-même. Génial, je passais mon temps à l'éviter, et voilà que c'était lui qui me trouvait.

    A-a-attendez, il m'avait entendu ?

    « Bonjour Min Huan. » Je clignais des yeux, en le fixant, n'arrivant rien à répondre sur le coup, bien trop impressionné... Qu'est-ce que je devais dire ? J'ouvrais la bouche, mais rien n'en sortait. ARGH. Il m'énervait tellement ! C'était complètement dingue ce truc. « Comment se passe ta carrière ? » … Hein ? Pourquoi est-ce qu'il se préoccupait de ça tout d'un coup ? Je fronçais les sourcils face à cette demande, un peu perplexe pour le coup. Je serrais la sangle de mon sac entre mes doigts, et me pinçais les lèvres. Pourquoi diable est-ce que je n'arrivais pas à clairement lui dire ma façon de voir les choses hein ? Je n'étais pas quelqu'un de faible, ni quelqu'un... d'hypocrite ? Si ? Bon, si peut-être car je ne voyais pas du tout comment je pourrais lui dire ce que je pensais de lui. Ce gars-là... En face de moi, il me foutait trop la trouille. J'étais bien pitoyable n'est-ce pas ? « Elle ne doit pas te prendre trop de temps, si tu as le temps de fulminer sur les autres. Tu préfères que je te laisse peut-être ? » Donc il m'avait entendu... Je me mordais la lèvre, passant mon sac sur mon épaule :

    « Tu sais, il ne faut pas t'énerver hein, je ne disais pas ça sérieusement, une blague tu vois... Il ne faut pas mal le prendre... Je soupirais un bon coup, et me disais que je devais faire peine à voir, à tenter d'arrondir les angles, alors que de toute évidence, en plus de me faire peur, je ne le portais pas dans mon cœur. Ma carrière, elle... suit son chemin, on va dire. Un petit 'euh' passait la barrière de mes lèvres, tandis que je prononçais les mots : Et... la tienne ?  » Aaaah... Pourquoi est-ce que je faisais comme si ça m’intéressait ? Qui y croirait de toute façon ? Argh... C'était tellement embarrassant...


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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyLun 11 Mar - 19:09

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Leçon n°42, ne pas s’énerver. Surtout, ne pas s’énerver. A vrai dire, la situation actuelle mérite-t-elle vraiment que je sorte de mes gonds ? Je n’en suis pas convaincu, même si je sens les griffes d’une certaine exaspération serrer mes entrailles. Je n’ai rien entendu de vraiment injurieux ; juste la preuve d’une jalousie flagrante… Et qu’apparemment, je fais peur. Or, j’ai hors de question qu’on me dise que j’ai l’air méchant, ou que je fais peur. Séquelles du passé, peut-être, ou alors j’ai un visage renfrogné au naturel ! Je n’en sais fichtrement rien. En tout cas, mon interlocuteur ne fait pas le fier, c’est le moins que l’on puisse dire. J’imagine que la situation actuelle pourrait m’amuser, mais je ne suis pas vraiment d’un naturel sadique. Je me sens juste énervé, à juste titre. A le voir bouche bée, l’air effaré, les mimiques nerveuses de Min Huan pourraient me porter à rire, mais je me contente de le fixer d’un regard sombre. J’attends quelques explications, qui ne tardent pas à venir. Son sac mit sur l’épaule, il me dit que ce n’est pas la peine de m’énerver ; après tout, ce n’était là qu’une petite plaisanterie. Je me fais patient, mais une excuse pouvant prétexter son hypocrisie se fait attendre… Pour ne jamais venir. Je reprends calmement, le regard toujours vissé dans le sien ; « Une blague… Je crains de ne pas l’avoir comprise. Tu peux me la répéter ? » lui dis-je. Je sais pertinemment qu’il n’en aura pas le courage. Croyez-moi ou non, mais ce n’est pas par pure cruauté que j’agis, mais bien plus dans l’optique de lui donner une leçon. Les instincts du grand-frère sévère qui reprennent le dessus, je suppose… Et si je n’aime pas particulièrement qu’on me dise mes quatre vérités en face, comme n’importe qui, j’ai encore plus horreur qu’elles soient dîtes sur mon dos. Si dans mes jeunes années, le fait de me critiquer en face me faisait péter un plomb, j’ai appris à me calmer, quitte à ce que je tire la gueule pendant un moment. Bref.

Le jeune homme me dit alors que sa carrière suit son cours. Je ne sais pas si je dois être étonné qu’il soit si peu expansif sur le sujet, ou non… Dans un sens, vu la critique que je lui adressée de but en blanc tout à l’heure, ça doit être normal. Il me renvoie la politesse, me demandant alors comme se passe la mienne. Mon regard ne se fait pas plus aimable, n’ai aucun sourire pour mon vis-à-vis, mais je prends tout de même la peine de répondre ; « Elle se passe très bien, merci. » dis-je sur un ton neutre, mais peut-être un tantinet provocateur malgré tout. Car oui, c’est le cas, tout se passe parfaitement bien malgré mon manque flagrant d’heures de sommeil ces derniers jours. Néanmoins, je préfère ne pas remuer le couteau dans la plaie. Non seulement, parce que Min Huan est mon aîné sur le point de vue de la carrière, et je me dois donc de tempérer mon agacement.

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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyMer 13 Mar - 22:11

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    En plus, il devait bien s'amuser à me voir paniquer et ne savoir que dire, c'était certain : je lui donnais le bâton pour pouvoir me battre, alors il ne fallait pas que je me plaigne. Quand bien même, Mister Charisma n'avait dont pas de pitié ? Il se jouait de moi tellement facilement que j'en avais honte, et qu'il m'énervait deux fois plus. Oh, allez, il n'allait pas me faire croire qu'il n'avait jamais pesté contre quelqu'un, et puis ce n'était pas comme si je m'étais attaqué à son intégrité. Je lui avais peut-être cassé du sucre sur le dos, mais au moins je n'avais pas été vulgaire ! Puis qu'il s'estime heureux aussi, sur son dos, je lui avais cassé un malheureux sucre, digne d'un cappuccino, il y en avait d'autres qui s'étaient pris des parpaings de sucre sur les lombaires, et qui s'étaient retrouvés cloué au lit !

    Seulement ça, j'allais m'abstenir de lui en faire part, je n'avais pas envie de me retrouver alité pour cause de lombaires brisés à mains nus. Oui, j'étais certain qu'il pourrait faire un truc pareil. Il me fichait la frousse, et si personne n'osait l'avouer, c'était parce qu'ils étaient tous dans mon cas, je ne voyais pas d'autres explications plausibles. Mais, j'étais sensé faire quoi maintenant ? Lui porter une estoc digne d'un chevalier blanc, et aller sauver la princesse sur mon cheval ? Non. C'était moi qu'il fallait sauver là. Alors si une princesse en détresse pouvait se libérer, ce serait pas mal. « Une blague… Je crains de ne pas l’avoir comprise. Tu peux me la répéter ? » Je déglutissais avec peine, tandis que mes joues rosissaient doucement, je me pinçais les lèvres, et me mettais sur la pointe de mes pieds, soufflant un bon coup, je prenais un air agacé, et disais :

    « Yong Jae-ssi par ci, Yong Jae-ssi par là... Je le fixais un court instant, alors que mes lèvres continuaient de se mouvoir, sans pour autant que de nouveaux mots soient prononcés : Je ne m'en souviens plus très bien en fait, et puis si je te la raconte mal, ça risque de ne pas être drôle, tu comprends. » Un fin sourire étira mes lèvres, tandis que je peinais à retrouver un semblant de contenance.

    Son regard noir était aussi glacial que le congélateur de mon appartement, et je me sentais comme... tout petit, quand je m'en rendais compte, je bombais un peu le torse, comme pour me donner de l'importance, et de la prestance, alors que je m'en fichais d'être charismatique là, je ne faisais pas le poids, il fallait que j'arrête de me voiler là face. Je me pinçais les lèvres de nouveau : « Elle se passe très bien, merci. » Le pire ? Je le croyais. Moi j'étais à deux doigts de me faire virer, et lui il se la coulait douce, en montant doucement au sommet. Cela n'allait pas se passer comme ça mon coco... J'allais trouver quelque chose à faire contre toi èwé !

    Et non ! Bon sang, je n'étais PAS JALOUX.

    « Eh bien, espérons que ça continue, c'est tout le mal que je te souhaite. » Non sérieusement... Est-ce que j'étais crédible dans le rôle de « sunbae qui se préoccupe de son dongsaeng ? »...

    Non mais t'as vu la tête du dongsaeng un peu?!! °°


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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyVen 15 Mar - 13:09

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Suis-je en face d’un parfait crétin, ou d’un insolent de première ? A voir la mine peu assurée de mon interlocuteur, j’aurais tendance à pencher pour la première hypothèse. Mais peut-on être stupide à un tel point ? Moi qui pensais que mon ironie était claire et nette, j’en viens à me poser des questions. C’est d’une voix agacée que Min Huan essaye de me répéter sa fameuse plaisanterie, mais s’arrête rapidement, prétextant ne pas se souvenir de la chute… Ha en effet, je ne risquais de ne pas saisir la subtilité de sa blague sans la fin. En tout cas, sa réaction me laisse coi, sourcils haussés et bouche bée. Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’il ait le courage de me la répéter les yeux dans les yeux, d’où ma grande surprise. Le fait qu’il ne termine pas ne me surprend qu’à moitié… Mais je pourrais au moins saluer le fait qu’il ait essayé ? Que nenni ! Parce que j’ai clairement l’impression que mon aîné se paie ma tête, et c’est chose que j’ai en horreur. Pourtant, je reste tout con dans un premier temps, le laissant ainsi poursuivre. A ma réponse au sujet de ma carrière, il me souhaite donc de continuer sur ce même chemin. Et il remue le couteau dans la plaie en plus ! En voilà un qui est bien gonflé. Si je suis quelqu’un de respectueux en temps normal, c’en est trop. Oui, je respecte Eden en tant qu’artiste, mais alors l’individu qu’est Cho Min Huan… ! Je sens la colère me serrer la gorge. Le pire est que je ne peux pas m’énerver, étant donné qu’il n’a pas été injurieux. Mais je ne peux pas le laisser agir comme ça à mon instar, encore et encore. J’ai bien l’intention de resserrer la vis et mettre les choses au clair. Je sors soudainement de ma léthargie abasourdie, secouant vivement la tête pour remettre les choses en ordre dans ma tête. Je peine encore à croire ce que j’ai entendu, mais je reprends bientôt la parole calmement, mais le ton glacial et doucement grondant ; « Rha ça va, arrêtes de te payer ma tête, okay ? » Autant mettre les choses au clair rapidement, et aussi calmement que possible. Je me retiens de trop hausser le ton. Je ne peux pas m’en permettre ici. Un sourire discret s’immisce sur mes lèvres, tandis que je commence à déballer quelques-unes de mes affaires pour me calmer les nerfs. Sans poser mon regard sur Min Huan, je continue à lui parler sur un ton un tantinet plus doux ; « Sérieux, si t’as un problème avec moi, dis le franchement, plutôt que de prétexter une plaisanterie quelconque. Ça, c’est juste ridicule et en plus tu passes pour un lâche. » dis-je simplement. Je me doute que si mes supérieurs m’entendaient parler ainsi à un aîné, je me ferai taper sur les doigts. Mais une fois encore, ce n’est pas à l’artiste que je m’adresse, mais bien à l’individu même. Je referme mon sac d’un coup sec et retire mon pull en feignant qu’il ne soit pas là. Je tâche de me calmer. Rien ne sert de hausser le ton pour l’instant… Garder son sang-froid, et continuer à mettre les choses au clair. Je m’assoie sur un banc pour retirer mes chaussures. Tandis que je m’exécute, mon regard sombre revient à Min Huan. Je poursuis sur cette voix blanche ; « Ou alors, continue à parler sur mon dos. Ça me dérange pas outre mesure, il paraît que c’est monnaie courante dans le show-biz. Seulement, assures toi que je suis pas dans les parages la prochaine fois. » Contradictoire ? Non pas tant… Oui, j’ai horreur qu’on parle sur mon dos, c’est vrai. Oui disons plutôt que je déteste apprendre qu’on le fait. Comme quoi, on se complaît tous plus ou moins dans l’ignorance.


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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyVen 15 Mar - 14:24

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    Je n'avais plus la moindre envie de m'éterniser là en fait. Au départ, je m'étais dis que je pourrais prendre tout mon temps à me changer, juste pour tester la patience de celui qu'on disait inoffensif. Mais ça c'était sans compter l'arrivée du principal intéressé, très rapide et sans que je ne m'en aperçois : fourbe hein... Certes, je n'étais pas le mieux placé pour parler de fourberie, vu ce que je venais de faire, en pensant être seul...

    . . .
    Mais dommage, là on est dans la tête de Min Huan, pas de Yong Jae, donc je dis ce que je veux ! Mwahaha.

    Bref, tout ça pour dire que son petit air pincé m'énervait et me faisait encore plus peur. S'il voulait me crier dessus, qu'il le fasse une bonne fois pour toute, parce que là c'était encore pire. En plus, il était carrément impossible de comprendre ce qu'il se passait dans sa tête. C'était le grand mystère, et je n'aimais pas ça, car je m'imaginais tout seul le pire, il n'avait pas besoin d'alimenter mes frayeurs. Mais ça, j'allais éviter de lui dire, je n'avais pas envie qu'il me serve encore son regard électrisant -détrompez vous, il n'y a aucune connotation attrayante là dedans-.

    Lorsqu'il se mettait enfin à tempêter, je sursautais. « Rha ça va, arrêtes de te payer ma tête, okay ? » Je refaisais tomber mon sac le long de ma jambe, le faisant balancer, plus ou moins nerveusement. (surtout «plus» que «moins» pour être honnête).

    « Je ne me.... Bon inutile, j'arrête de m'enfoncer... hein.. » J'essayais de sourire un tant soit peu, et si je n'avais pas eu peur d'abîmer mon magnifique sourire, j'aurais inscris «armistice ? » avec une lettre pour chaque dent.

    C'était... Ridicule. Complètement. Cette discussion n'avait pas lieu d'être : je n'arrêterais pas de penser qu'il était un psychopathe, et je n'améliorerais pas non plus la vision qu'il avait de moi, alors à quoi bon ? Je l'observais faire ce qu'il avait à faire, tandis que moi, j'intimais silencieusement à mes jambes de se barrer. Mais c'était la mutinerie là-dessous. Un petit soupir plus loin, je frissonnais à son regard, une nouvelle fois. « Sérieux, si t’as un problème avec moi, dis le franchement, plutôt que de prétexter une plaisanterie quelconque. Ça, c’est juste ridicule et en plus tu passes pour un lâche. Ou alors, continue à parler sur mon dos. Ça me dérange pas outre mesure, il paraît que c’est monnaie courante dans le show-biz. Seulement, assures toi que je suis pas dans les parages la prochaine fois. » Je tapotais du pied, j'avais l'impression de me faire gronder par un... grand frère ? Un nouveau frisson me parcouru l'échine à cette pensée. « Tu n'es pas colère... Ni rien ? C'est vrai quoi, son regard laissait sous-entendre un meurtre prochain, mais ses paroles... GRAH. Puis je me rendais compte que j'agissais bizarrement : s'il n'était pas en colère, il était où le problème au juste ? Au moins j'étais toujours en vie ! «  Je ferais attention la prochaine fois, t'en fais pas.  » Disais-je alors que mes pas me décidaient enfin à me mener vers la sortie. Juste avant que je me rende compte de ce que je venais de dire. Mon sang se glaça aussi sec, tandis que tout mon corps s'arrêtait lui aussi, comme si je venais de me prendre un râteau en pleine poire, qui m'avait forcé à m'arrêter. Je me retournais et en secouant la main : «  Annyeong !  » Et ensuite, c'était limite si je ne partais pas en courant.

    Mon âme, ma vie, ma tête, mon intégrité physique, je voulais viiiivre !


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MessageSujet: Re: ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..   ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha.. EmptyVen 15 Mar - 20:05

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 ah, quand je disais que... c'était une bla-gue ! Hu-mour ! Ha.. ha..




 

La réaction de Min Huan me semble raisonnable. Oui, au stade ou il en est, il est inutile qu’il continue à s’enfoncer ! Il n’est pas loin du fond des abysses dans mon estime, donc bon… Autant éviter de creuser encore plus ! Je ne peux qu’être agréablement surpris de sa réponse. Je ne pensais pas qu’il entendrait mes sermons de cette oreille. Il a un vague sourire, tandis que je reste silencieux en le contemplant. Je ne vois pas quoi ajouter, je pense que mon mutisme suffit à lui seul. Mon sermon terminé, il me demande après un soupir, le pied tapotant frénétiquement le sol, si je ne suis pas en colère. J’inspire profondément pour me ressaisir, les yeux levés au ciel. « Bien sûr que si. » Comment ne pas l’être ? Comme déjà dit, je n’aime pas qu’on dise des choses sur mon dos. Et je suis moi-même proie à la jalousie, c’est un sentiment que j’ai en horreur. Mon exaspération est donc parfaitement légitime. Néanmoins, j’ajoute, un nouveau regard froid posé sur mon vis-à-vis ; « Seulement, je sais la freiner. » Voilà, ça s’est dit. Je ne suis sûrement pas un modèle de patience, mais je sais modérer mes ardeurs. Et en l’occurrence, à quoi ça servirait que je crie, que je tempête, que je frappe ? Mon interlocuteur semble déjà suffisamment intimidé pour que je doive en rajouter une couche. Donc autant prendre sur moi, et garder mon sang froid autant que je le peux. Je peux juste au moins espérer que mon sermon ne sera pas vain. Le mieux serait certes que Min Huan cesse de dire des saletés sur le dos de ses compères, mais je ne me fais pas trop d’illusion là-dessus. Et puis bon, même si j’ai souligné ce défaut, je sais que ça ne suffira pas à le faire arrêter. Tout simplement parce que nous ne sommes pas assez proches, pour qu’il puisse prendre sérieusement ma remarques en réelle considération. D’ailleurs, le jeune homme vient confirmer mes doutes ; il m’annonce simplement qu’il fera plus attention à l’avenir. Je ne peux retenir un soupir. Qu’il continue donc si ça l’amuse… J’imagine que je peux déjà m’estimer heureux de cette promesse. Si je ne le surprends pas à casser à nouveau du sucre sur mon dos, c’est déjà pas mal. J’acquiesce pourtant, avant de détacher mon attention de sa personne. Je commence à rassembler les quelques vêtements et accessoires qui ont été mis à ma disposition pour le photoshoot qui va bientôt commencer, tandis que Min Huan s’en va vers la sortie avant de me saluer. Je tourne vaguement la tête vers lui pour lui adresser un signe de tête en guise d’aurevoir. Allez, ce n’est pas ce petit entretien dans ces vestiaires qui va me gâcher la journée ! Je m’étire rapidement avant de me changer, oubliant bien vite ce qu’il vient de se passer. Ça ne sert à rien que je me prenne la tête pour une broutille pareille, j’ai des choses plus importantes à penser !


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