Hey Chingu! J'ai encore des trucs a te dire!
✱ Vous trouvez pas que les criquets font un bruit insupportable ?
✱Si j’ai souvent l’air endormi ou que j’ai des cernes sous les yeux, c’est parce que je ne dors vraiment pas assez…
✱Je compose beaucoup de mes chansons et j’en écris les paroles
✱ J’ai un faible pour le Wisky avec glaçons…
✱ Je parle coréen, anglais mais aussi japonais et récemment, j’essaye d’apprendre le français.
✱ Je fais du Kendô depuis tout petit, ça m’aide à me relaxer et ça me fait penser à autre chose que le boulot
✱Mes fans portent le nom de « Lords & Ladies »
✱ J’ai toujours chaud… Une vrai bouillotte, un radiateur sur pattes…
✱J’ai d’ailleurs souvent trop chaud
✱ Je bois beaucoup de café mais, je devrais peut-être arrêter avant d’avoir une crise d’hypertension
✱Contrairement à ce qu’on pourrait penser, je ne suis pas du genre à me la péter… Du moins, il me semble…
✱ Je suis officiellement en couple avec ma meilleure amie… Mais, c’est juste ma meilleure amie hein
✱J’ai une hantise des paparazzi… Je les fuis…
✱Ok, j’ai l’image du mec viril… Mais, j’adore faire le zouave et des trucs mignons…
✱J’aime les animaux ! Mais j'ai pas le temps pour m'occuper d'un
✱Je dors nu !
✱Je joue de la guitare et du piano
✱Je trouve ça bizarre les yeux des poissons…
✱J’ai un faible pour les filles qui portent du rose...
✱J’utilise toujours le même parfum et le même shampoing depuis mes débuts… C’est… Mon porte-bonheur.
✱Je presse les oranges de mon jus d’orange et je fais très attention à ce que je mange. D’ailleurs, je ne mange pas beaucoup…
✱Superstitieux ? Non... Comme des milliers de coréens et même de personnes, je lis mon horoscope tous les matins !
✱J'ai vécu une longue période de dépression, je suis encore quelque peu fragile

Mon histoire

Dans la vie, on ne démarre pas tous avec la même chance. Avec les mêmes avantages, les mêmes capacités.
On ne démarre pas tous avec le même nombre de frères et sœurs, ni le même nombre de proches.

Parfois, on démarre sans rien.

Tout comme Cho Lei, orphelin, il n’a jamais connu ses parents. La seule information qu’il a eu d’eux c’est leurs prénoms et leurs âges.

Et ce nom : Bang. Même après adoption, il voulut garder son nom. C’est son nom, sa racine, sa famille. Et c’est sûrement pour cela qu’il y a eu un blocage. Un gros blocage. Le garçon n’a jamais pris ses repères. Ce n’est pas qu’on s’occupait mal de lui, non, on lui donnait de l’amour, du respect, du bonheur et beaucoup d’attention. Mais ce n’est pas ce qu’il voulait.

Non, il voulait qu’on le rassure, qu’il ne pense pas qu’on lui fasse charité. Qu’on ne soit pas gentil avec lui que par simple générosité. Cho Lei est avide d’un amour inconditionnel. Il avait besoin qu’on l’aime comme on aime son propre enfant.

Mais après tout, comment pouvait-il ressentir ce sentiment quand au fond, il ne pourra jamais le comprendre ? Il n’a jamais vu ses parents. Et peut-être qu’il ne pourra jamais les voir.

Cette idée l’a accompagné toute son enfance. Comme un cauchemar récurant venant hanter chacune de vos nuits. Il ne voulait pas oser imaginer le fait qu’il ne puisse les retrouver un jour. Non, c’était une crainte qu’il ne pouvait supporter.

Et il le montrait. Sans aucune hésitation il tapait des caprices, des crises d’angoisse et d’hystérie. Il se mettait à hurler sur son frère, son père et sa mère adoptifs, pour un oui ou pour un non. Il refusait de travailler à l’école, refusait de rentrer à l’heure et faisait le mur parfois. Il découchait et fuguait même et plus d’une fois, il frôla la maison d’accueil... Et au fond, il essayait de se tenir à carreau pour ne pas qu’on l’emmène, pour ne pas qu’on l’abandonne à nouveau.

La famille Sol l’a recueilli et après tout, il ne pouvait cracher dessus. Revenir après une bagarre et avoir une femme venant panser vos blessures, un père qui vous hurle dessus pour vous faire comprendre qu’il était inquiet, un frère qui vous prend dans ses bras... Tout cela était si important pour lui... Il aurait pu mourir pour eux malgré tout.

Dans un sens, il avait peur qu’en cessant d’être cet adolescent rebelle et indiscipliné, on ne ferait plus attention à lui.

C’est ainsi que son paternel l’inscrivit dans un club de Kendô, pour qu’il canalise sa colère, sa rage et se dompte lui-même. Ses proches ne comprenaient pas ce qu’ils pouvaient lui passer par la tête toutefois, ils avaient compris. Le jeune homme n’allait pas bien et le mieux qu’ils pouvaient faire été de l’accompagner et le soutenir. Et après tout, c’est tout ce que Cho Lei espérait.

Qu’on lui tienne la main et qu’on lui dise que demain, il ne sera pas seul.

Et ainsi, sa vie défilé, le garçon continuant tout de même à ne rien faire, quel sale élève était-il ! A part peut-être en sport, c’était facile de maintenir un bon niveau avec son corps travaillé par son activité régulière de l’épée.

On ne pouvait pas dire que ses crises d’enfant perturbé s’étaient arrêtées néanmoins, elles se faisaient moins présentes, ou du moins, c’est ce que disait le professeur de Kendô, essayant de l’aider à cacher ses bastons multiples et ses insultes envers n’importe qui... Et puis, elles se manifestaient autrement, moins violentes mais toutes aussi fourbes. Petite-amie sur petite-amie. Cho Lei n’avait pas de pitié pour les filles et briser le cœur de ses demoiselles sans remords.

Sa première fois, il la perdit vers ses 15 ans... Rien de bien important, il ne connaissait pratiquement pas la poupée qui lui servit de « cobaye ». Rien de romantique, ni de tendre, il cherchait juste à trouver un équilibre interne. Il cherchait à se calmer, s'apaiser.

Jusqu’à... Cette belle nana. Oh oui, la plus belle nana du lycée. La plus populaire, la plus douce et la plus sensuelle. Celle a la silhouette magnifique et fine, des épaules étroites et des cuisses longilignes. Quelle beauté était-elle et peut-être l’est-elle encore.

Comme toute belle histoire d’amour, elle n’a pas durée. Et pourtant, tout indiqué un avenir heureux. Un vrai drama ! Le garçon tombe amoureux de la fille et fait tout pour la conquérir. Nous n’avions jamais vu un Cho Lei aussi affectueux et mielleux... Des fleurs, du chocolat, il la couvrait de cadeaux et se prenait des râteaux publiquement sans aucune honte. Il en était rudement dingue.

Un jour, elle céda. Pour le plus grand plaisir de l’un et de l’autre aussi. Il avait ce côté enfantin qui l’attirait parce qu’au fond, elle savait qu’il était ce gentil garçon innocent qui ne sait pas trop s’exprimer. Alors, elle le changeait. Elle le laissait s’épanouir et mieux parler. Ou plutôt chanter. Elle l’emmenait souvent au karaoké quand ça n’allait pas, et connaissant le sauvage qu’il était, ça n’allait pas souvent...

Grâce à cela, elle lui découvrit un talent pour la chanson. Sa voix suave et si juste et précise. Elle était précieuse à ses yeux. Elle l’aimait de tout son être et, même si ça n’avait pas démarré très fort entre eux, elle aussi en était rudement dingue.

Elle était folle de lui tout comme il était fou d’elle. Ils filaient la parfaite romance et pensaient tous deux que ce serait autre chose qu’une simple amourette de lycéen. Ils s’étaient présentés respectivement à la famille de chacun et avaient déjà en tête des projets d’avenir.

Même si, ceux du jeune homme restaient encore flous... Peut-être devait-il aspirer à un futur dans le Kendô ? Il avait déjà remporté certaines compétitions et se lancer en tant qu’athlète de renom aurait été possible... Toutefois, c’était peut-être... Une solution trop... Fade... Et ne parlons pas d’employé dans un bureau. Faire de longues études ne l’intéressait pas du tout et à dire vrai, il espérait ne jamais à devoir en faire.

Et c’est un peu comme si son rêve fût exaucé. Au hasard, vers ses 17 ans alors qu’il séchait les cours, pendant qu’il chantait au karaoké, un chasseur de tête de la New Generation le repéra. A sa plus grand surprise, ça il faut l’avouer. Surtout, bravo pour la première impression, il avait le tee-shirt quasi-relevé et faisait une danse sensuelle à sa petite-amie.

On applaudit pour le ridicule ! Merci, merci ~

Bref, pour faire court, les choses se sont déroulées assez facilement après, il prit l’audition et la réussit presque haut les mains. Sans encombre et sans bavure, il signa un contrat.

Avait-il assez réfléchi ? Non, sûrement pas. Mais cette voie qui se présentait à lui paraissait si agréable et enchanteresse qu’il n’hésita pas à venir le lendemain, et le surlendemain et à tomber finalement, amoureux de la musique et de la danse.

Au plus grand désarroi de sa promise. Il ne savait que faire pour joindre les deux bouts, restant parfois des jours et des jours sans même adresser un mot à sa bien-aimée. Ce n’est pas qu’il ne voulait pas non, c’est qu’il ne trouvait plus le temps, plus le moment et que les règles de la société sont dures. Pas de relation. Aucun relation. Et encore moins lorsqu’on veut devenir une idole. Même s’il n’en était pas encore sûr à 100% à l’époque, les faits étaient là, Bang Cho Lei était devenu un futur talent et la New Generation avait de grands espoirs pour lui. De très grands.

Si grand que la pression fût dur, que ses années en tant que trainee furent cassantes, éreintantes et acerbes. Il n’en voyait plus le bout et n’espérait plus qu’une chose. Que cela se finisse. Que ça soit lui sur les devants de la scène ou lui, jeter sur les trottoirs comme une vieille chaussette, revenu au point de départ.

Puis, à ses 19 ans, alors que la belle et lui avaient réussis à tenir le coup, il faut le préciser, elle était des plus délectables avec lui et le soutenait coûte que coûte, notre futur idole se vit promettre un contrat. A durée indéterminée. Un contrat qui voulait tout dire.

C’était fini. Choco Lei allait périr, The Grandness K1NG était né.

La presse, la télé, les radios, les photos, les publicités, les singles, les concerts, il n’en voyait plus le bout et ça l’essorait jusqu’à la dernière goutte de sueur qui pouvait l’habiter.

Il cachait son couple et de toute façon, il ne la voyait plus. Il ne voulait pas la perdre cependant, il ne pouvait plus la voir aussi librement, il ne pouvait plus la prendre dans ses bras sans remord.

Plus d’une fois, il lâchait sa main dans la rue de peur qu’on le reconnaisse alors qu’il était camouflé de la tête aux pieds.

Plus d’une fois, il l’avait senti chavirer puis... Il l’entendait pleurer.

Ca lui brisait le cœur et se sentait impuissant. Il voulait la réconforter mais comment faire quand on sait qu’on est le coupable de tout ça ? Elle avait déjà reçu des lettres ensanglantées par des fans stalkers. Des menaces par des paparazzi... Parfois, elle espérait juste... Que ça s’arrête.

Pour que cela cesse, il fit en sorte de ne plus la voir, de ne plus l’approcher, de ne plus lui parler. Leur relation était au point mort mais les deux ne voulaient pas se quitter. Ils étaient devenus deux amoureux transis. Ils ne pouvaient plus que se regarder dans le blanc des yeux et s’ignorer.

Ce qui ne plu pas à la demoiselle qui commença à renvoyer les lettres et les menaces, les pensées suicidaires et les envies de mort. Elle les renvoyer et pas à n’importe qui, non à Cho Lei.

La dépression lui tendit les bras et il glissa le long du rouleau jusqu’au bout. Il n’avait nul part où s’accrocher parce qu’après tout, même s’il respectait sa famille, que pouvait-elle bien faire ?

La musique devint son seul repère. La musique devint sa seule solution et il se noya dans le travail.

Plus et encore plus, il tomba dans une romance avec la musique et ses fans et, maintenant que les années se sont écoulées, le voici mieux. Les moments sombres sont passés et le voilà soulagé.

Enfin presque. Quelques journalistes trop curieux, quelques groupies chiantes... Mais rien de bien oppressant, il a pris l’habitude.

Et maintenant, il n’est plus abandonné, il y a Mok Li... Sa meilleure amie... Juste une excuse pour qu’on lui lâche la grappe à dire vrai. Ils sont « promis » l’un à l’autre mais à dire vrai, les deux ne sont en aucun cas attirés par cette idée, leur amitié bien trop forte. Ils en rient bien.

Du moins, Cho Lei en riait bien avant que sa nièce arrive dans sa vie... Et qu’il sente son cœur battre vite pour elle.

En était-il amoureux ? Lui-même n’arrive pas à savoir, c’est sa nièce après tout ! Adoptive ou pas d'ailleurs. Il ne devait que l’héberger mais... Que faire ? Elle est si belle et si joueuse, si taquine et si adorable qu’il... Qu’il se sent fondre sous son charme et se maudit d’avoir accepté cette faveur pour son frère.

Mais il lui doit tant. Il doit tant à la famille Sol... Et cette Kan Ah... Elle est si... Parfaite...

Son seul rêve maintenant c’est bel et bien de vivre de musique et, tant pis s’il doit dire « Non » à l’amour... La dernière chose qu'il espère c'est bien les ennuis. D’autant plus maintenant qu’il a peut-être des informations sur son père biologique...

L'avenir lui réserve bien des surprises apparemment...

Cette fois c'est au tour de mon Caractère hein. Que je sois quelqu'un d'ouvert, d’associable, d'antipathique, de joyeux, de rieur, de coléreux, solitaire ou encore l'extravertie de service, je vais me confier et parler de moi ouvertement! Comment je vois les choses, ma façon d'être dans certaine situation, mon comportement face a la personne que j'aime, les personnes que je déteste, ceux que j'apprécie... Difficile ou facile a cerné, ce sera a toi de voir, confidence pour confidence... j'aime le poulet! /bam/ (Pareil que pour l'histoire, le caractère est important pour cerné votre personnage, alors n'hésiter pas a "trop" en dire, ça sera toujours mieux que d'être vague et pour les liens, ça aide toujours quelqu'un qui donne beaucoup d’informations o/)

Derrière mon écran, je suis Manon/Shokibo, j'ai 20 ans. Si je dois noté ma présence sur le forum ça serait: Indéterminée. Et pour finir, ce que je pense du forum est MON MIEN ! *^* .