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MessageSujet: I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]   I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END] EmptyDim 20 Jan - 19:40

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La journée avait relativement bien commencé pour Xiao Yu. Une nuit quasi complète en compagnie d'une charmante créature repartie le matin même et l'odeur du café le réveillant. Quoi de mieux ? C'était bien l'un des seuls jours où il était de bonne humeur. C'en serait même trop beau pour être vrai. Il s'était rendu au boulot avec un petit rictus appréciateur (oui, il n'en était pas au point de sourire non plus.) et un regard assez terrifiant quand on connaissait un minimum le personnage. Ce matin restait tout de même assez tranquille. Il n'avait pas vraiment de rendez-vous ni même de rencontres à organiser. Juste quelques papiers à remplir. Il aurait très bien pu le faire chez lui mais il détestait rester à son appartement. Le problème n'était pas qu'il était inconfortable ou quoi que ce soit. Au contraire, il était plutôt luxueux. Mais il était à l'image de son propriétaire : Froid et vide. Enfin bref, il n'aimait pas travailler chez lui. Il se dépêcha de trouver une place sur le parking et gara sa voiture (Une porsche, rien que ça) et sortit sans oublier son sac rempli à craquer. Lui qui était d'habitude si organisé n'avait pas vraiment pensé à trier tout ces papiers. Hmm, disons plutôt qu'il n'avait pas eu le courage de les trier. Et puis, c'était bien en dessous de ses capacités ! Pourquoi devrait-il s'embêter à ranger de vulgaires paperasses pour la plupart inutiles ? Dans tous les cas, il faudrait bien qu'il s'y mette un jour ou l'autre. A ce moment là, la broyeuse à papier serait sa meilleure alliée. Il entra dans le grand bâtiment orné des initiales NG et soupira de soulagement. Il faisait meilleur à l'intérieur. Il n'avait jamais aimé l'hiver. Particulièrement les périodes de fêtes. Mais bon, elles étaient passées depuis déjà quelques semaines, grand bien lui fasse. Quoi que, maintenant, ils avaient le droit à ces stupides gamins testant leurs nouveaux vélo reçus à noël et à leurs pleurs incessants quand ils chutaient. C'était assez exaspérant.
Il passa devant l'accueil sans même jeter un regard aux personnes présentes dans le hall et monta à l'étage. C'était étonnamment calme d'ailleurs. Il croisa bien une ou deux idoles mais la plupart des personnes présentes dans le bâtiment restaient des trainees. Automatiquement, il se dirigea vers la machine à café à la cafétéria. Après il s'étonnait de ne pas réussir à dormir mais il ne faisait qu'engloutir du café toute la journée... Aaah. Aussitôt sa boisson en main, il s'installa sur une des tables et sortit les documents qu'il avait à compléter. Il devait s'occuper l'esprit. Il éplucha ainsi des dizaines de papiers pour la plupart inintéressants pendant une bonne heure, tentant tant bien que mal de faire abstraction des conversations futiles autour de lui. Mais il ne put pas empêcher son oreille d'être attirée par le flot de paroles que débitait un type juste arrivé dans la cafétéria et qui ragotait avec des compagnons (le mot « ami » étant absolument banni du vocabulaire de Xiao Yu) Je te jure que c'est vrai ! On était tous paniqués quand Kanzaki est tombé à la flotte. Au début on croyait qu'il faisait semblant mais il ne savait vraiment pas nager ! »

C'était plutôt étrange comme sensation « l’inquiétude ». Ça faisait accélérer les battements de son cœur et lui comprimait l'estomac. Ce n'était pas un sentiment que Xiao Yu ressentait souvent à vrai dire. La plupart du temps, il restait indifférent à ce genre de chose. Mais si c'était bien de Ryu dont cet homme parlait, ça changeait la mise. Ryu était quelqu'un de cher à Yu, quoi qu'il en dise. C'était une sorte d'issue de secours à sa solitude. Et bien qu'il ne cesse de se persuader du contraire, il tenait sincèrement à lui. Quel imbécile, lui qui s'était promis de ne plus s'attacher à personne, il se retrouvait piégé une nouvelle fois. Sa bonne humeur s'était envolée. Il devait s'assurer que Ryu allait bien ou il ne pourrait pas en dormir lcette nuit. Quoi que ça ne changerait pas grand chose à d'habitude. Il rangea ses affaires et s'approcha de l'homme qui conversait toujours avec les imbéciles autour de lui. Xiao Yu demanda s'il savait où se trouvait le dit « Kanzaki » désormais. Et le tout agrémenté d'un ton glacial et un regard sombre. « Il doit être toujours à la piscine. Quand on lui a dit qu'on partait, il n'a rien dit et s'est contenté d'acquiescer... » Mais quels abrutis ces types ! Ils l'avaient laissé là-bas alors que Ryu avait peur de l'eau. Il était entouré de crétins. Il fronça des sourcils et montra son agacement en claquant la langue contre son palet. Un tic nerveux. Il attrapa son sac, le jeta sur son épaule et se précipita hors de l'agence. Pourquoi était-il si inquiet bordel ?! Il considéra la route encombrée en face et grogna. S'il y allait en voiture, il en avait pour une bonne demi heure. Et puis, la piscine n'était pas très loin. Il devait juste se dépêcher et il en aurait pour six ou sept minutes de course en prenant en compte ses capacités physiques loin d'être élevées. Il serait sûrement essoufflé, voir même au bord de la mort mais au moins, Ryu ne serait pas seul longtemps. Il jeta son sac sur la banquette arrière de la voiture et se précipita en direction de la piscine. A mis chemin, il regretta d'avoir choisis la solution « J'y vais à pied ». Bon sang, voilà ce qui arrivait quand il ne réfléchissait pas ! L'impulsivité ne lui allait pas. Mais il arriva tant bien que mal à destination. Bon, il avait peine à retrouver son souffle mais au moins, il y était. Il ignora les quelques personnes restantes dans le hall d'entrée, retira ses chaussures (pourquoi l'avait-il fait d'ailleurs, les membres du Staff avaient sûrement dû y aller chaussées ! Mais bon...) et dans la salle contenant le grand bassin. Entièrement vide si l'on omettait la personne recroquevillée sur une chaise en plastique avec une serviette lui recouvrant le visage. Sans plus y réfléchir (de toute façon, c'était ce qu'il faisait depuis le début), il s'avança vers Ryu. Il était essoufflé et décoiffé mais il était rassuré de voir l'autre sain et sauf.

Mais c'était bien beau, qu'est-ce qu'il devait faire maintenant ? Le réconforter ? Comment devait-il faire ça exactement ? Il avait l'impression d'avoir affaire à un animal blessé. Il n'osait pas faire un seul geste au risque de l'effrayer. Il garda le silence et s'accroupit pour se retrouver à la hauteur du japonais. D'habitude, c'était Ryu qui faisait le premier pas, qui engendrait leurs baiser et caresses. Il était encore novice en terme de tendresse. Doucement, il passa sa main dans les cheveux humides de son … d'ailleurs il était quoi exactement pour lui ? C'était plutôt indéfinissable comme relation. De toute façon, ce n'était pas le moment d'y penser. Il se contenta de lui caresser les cheveux. « Tu veux que j'appelle quelqu'un pour te ramener, Ryu ? » Ouai, finalement, y venir en voiture aurait été une meilleure idée. Hors de question qu'il lui avoue qu'il était venue ici à pied sur un coup de sang. Il perdrait toute crédibilité en tant que Prince des glaces. « Tu es trempé, tu vas attraper froid si tu restes comme ça. » Il tentait de rendre sa voix douce (ce qui était assez effrayant en soit) et continuait de lui passer la main dans les cheveux, un peu maladroitement. Ryu le connaissait assez pour savoir que ce n'était pas le genre de gestes auxquels Xiao Yu était habitué. « J'aurais dû arriver plus tôt. » Doucement, retira la serviette que le japonais portait sur la tête avant de lui masser le crâne avec, lui séchant les cheveux tout en le serrant contre lui. Il regrettait vraiment de ne pas avoir été plus rapide, Ryu semblait plutôt mal en point. « J'ai fait au plus vite. J'ai surpris un abruti en train de raconter ce qui s'était pa- » Il s'interrompit. Peu probable que cela intéresse l'autre. « J'étais inquiet... »




Dernière édition par Qin Xiao Yu le Dim 17 Fév - 20:26, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]   I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END] EmptyDim 20 Jan - 22:55

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Il y a des jours où parfois il vaut mieux rester chez soi. Tu es partit ce matin très tôt, ton emploi du temps était d’accompagner la jeune Ka Young qui sortait et qui ne comptait que sur toi lors de ses sorties pour la protéger d’éventuels fans en furies depuis que tu as le perfect bodyguard. Ta gentillesse te perdra… C’était ce qu’une personne à qui tu tenais vraiment te répétait sans cesse. Même quand, vous vous êtes séparés pendant un moment quand il a quitté le Japon, tu as gardé contact avec lui par mails ou, par téléphone. Bien que la majorité du temps, c’était des reproches. Il connaissait ta situation avec Renji, il t’avait même dit de ne pas le laisser entrer chez toi quand il est revenu, de le foutre à la porte s’il n’y mettait pas du sien. Tu savais qu’il avait raison. Que tu souffrirais et tu as souffert de ce que tu redoutais tant, s’est réalisé. Il t’a de nouveau quitté. Tu savais que cela finirait ainsi quand tu lui as ouvert la porte alors que cela faisait deux longues années qu’il t’avait évincé de sa vie du jour au lendemain. Tu t’es rendu compte que la célébrité l’avait rendu hautain, qu’il se prenait vraiment pour le roi du monde. Pourtant, tu l’as supporté bien que tu n’aies pas été tendre. Tu pensais que cette-fois-là, ce serait différent. Qu’il te tiendrait toujours cette main, que tu pourrais lui avouer tes sentiments.. Quelle belle chute à la fin de cette histoire tu étais tombé de haut et pourtant, devant Xiao Yu tu as simulé être détaché de la situation. Tu as eu droit à son éternel : « Je te l’avais bien dis ». Fort heureusement pour toi, il ne te l’a pas dit autant de fois que tu l’aurais crus. Cependant, aujourd’hui est un peu différent. Tu as finis de te préparer dans ton costume noir avant de taper à la porte d’amis pour voir une forme sous la couverture. Tu souris doucement… C’est vrai depuis trois jours, tu ne vivais plus seul. Tu as recueilli un chaton égaré mais, ce dernier, tu ne pouvais pas le laisser rentrer chez lui. En parlant de chez lui… Tu te rappelles parfaitement de la peur qui l’avait habité quand vous vous êtes retrouvés devant chez lui. Tu refermes doucement la porte derrière toi et va chercher de quoi écrire pour lui laisser un message et le coller sur le frigo. Une fois fait, tu offres une nouvelle inspection à ton sac pour voir si tu n’as rien oublié et une fois cette activité finit. Tu prends tes clefs, ton portable avec lequel tu envoies un message à ton frère et tu sors de ton loft pour prendre l’ascenseur afin de sortir de ton immeuble dans lequel tu loges et de te rendre à la piscine avec une boule au ventre.

La piscine municipale ? C’était un endroit que tu fuyais généralement comme la peste. Tu pouvais prendre des douches et même des bains depuis quelques temps même si, avant remplir la baignoire et y restait te rendait malade. Mais, rentrer dans une piscine couverte ou découverte même la plage c’était impossible. Tu avais trop peur d’entrer dans l’eau et de perdre pied. Tu ne savais pas nager ou si tu savais mais, tu ne sais plus. L’eau t’effraie, tu n’es jamais arrivé à te remettre du choc que tu as eu à treize ans. Une nuit à laquelle tu ne veux pas penser et que tu gardes pour toi. L’eau est réellement ton point faible il serait peut-être temps que tu commences à combattre ta peur et a essayer d’apprendre à nager. Même si tu ne seras jamais un nageur olympique au moins, que tu puisses te dépatouiller dans l’eau. Tu commençais à avoir les mains moites au fur et à mesure que tu t’approchais de ce lieu maudit pour toi, un plaisir pour les autres. Tu ne comprenais pas pourquoi le manager de la petite avait décidé que cette dernière fasse un photoshoot à la piscine et en maillot de bain. Vous étiez l’hiver, il gelait dehors l’hiver en Corée était redoutable tout comme au Japon. Ce n’était pas un temps à rester dehors toute la journée à moins que vous vouliez être transformés en glaçons. Tu finis par te garer et ferme les yeux. Tu es en avance d’une bonne dizaine de minutes. Tu soupires et essaie de te calmer. Tout devrait bien se passer non ? Tu auras juste à rester loin de bassin tout en gardant un œil aux fans qui sont permis de venir assister à la séance. D’ailleurs, il te suffit de tourner la tête pour voir le monde. Une journée qui s’annonçait bien rude. Cependant, tu ne devais pas laisser ta peur diriger tes sentiments bien que te faire remplacer aurait été la solution à tes problèmes. Tu préférerais fais de l’administration que te retrouver dans ce lieu qui était une torture pour toi. Mais, ce n’était pas toi de reculer. Tu aller toujours de l’avant même si à la fin, cela te portait préjudice. Tu verrais bien et, c’est en déglutissant que tu pris ton sac qui se trouvait sur le siège passager et sortit de ta voiture une Mercedez Berline de couleur noir pour t’engouffrer d’un pas mal assuré dans ce lieu dont tu aimerais être loin à cet instant. Tu pousses des fans pour pouvoir t’avancer et salue le staff avec un sourire légèrement forcé. Tu te déchausses comme le veut la coutume et tu vas prendre un café dans un coin du hall pour essayer de calmer tes nerfs. Tu saluas la concernée et la salua avec professionnalisme et calme. Tu n’avais pas envie de sourire de toute façon mais, tu allais prendre sur toi et quand le tournage commença tu espérais mentalement que cela se termine vite.

Cela faisait quelques heures que tu y étais observant les alentours des fans il y en avait de toutes sortes mais, c’était majoritairement des hommes.. La jeune fille était souriante et posait dans l’eau ou au bord de la piscine. Finalement, la pause de midi/heure arriva. Tu voulais te précipiter dehors pour pouvoir respirer parce que tu suffoquais. Tes mains étaient vraiment moites et tu commençais à avoir le tournis même si tu ne laisses rien paraître. Tu détestes montrer tes faiblesses même dans les pires situations. Cependant, c’était sans compter sur un des membres du staff qui voulaient s’amuser et bien entendu il faut croire que tu étais la victime parfaite pour ça puisque tu n’avais pas pris part à une seule de leurs blagues ni guère adressé la parole. Peut-être pensaient-il que tu les snobais ? Bonne question dont tu ne veux pas entendre la réponse. Surtout pas quand tu te sentis soudainement poussé en avant et perdre pied. Tu leurs avais dis de te lâcher tu as même crier quand tu as vu ton reflet dans l’eau pendant une seconde avant de sentir l’eau froide de la piscine te submergeait entièrement. Tu n’avais pas pieds et au lieu de remonter à la surface des souvenirs de cette nuit te revinrent en mémoire. Tu te débattais, tu t’affoles surtout. Tu perds complètement pieds pendant que tu es tétanisé. Tu manques d’air. Tu veux appeler à l’aide tu es effrayé.. Tu as l’impression de revoir ce visage.. Celui de cet homme qui s’en ait pris à toi petit. Cet homme qui a essayé de te noyer en cette nuit même après que tu sois tombé du bâteau. Tu hurles silencieusemet alors que l’eau commence à pénétrer tes poumons et tu étouffes.. Tu vois le visage de Renji en souhaitant qu’il soit là. Mais, il n’est pas là. Il t’a abandonné..

Tu n’as pas conscience de ce qui se passe ni des ombres qui se profilent sur l’eau. Tu ne les vois pas comme tu ne vois pas le photographe âgé d’une quarantaine plongé et te prendre sous les bras pour te sortir la tête hors de l’eau. Tu as perdu connaissance entre le temps qu’il te repêche et que tu craches toute cette eau ton corps tremblant comme une feuille. Tu ne peux pas crier.. Tu es tétanisé par l’expérience, ce souvenir qui a hanté tes nuits… Tu as bien crus que tu allais mourir.. Tu n’entends rien et tu gifles cette main tendue vers toi. Tu ne les vois plus comme des humains.. Tu te relèves difficilement et leur lance un regard effrayé mais en même temps vide. Complètement vide. Tu dis que tu vas bien. Qu’ils peuvent partir. Qu’il vaut mieux qu’ils dégagent en criant. Tu perds le contrôle de toi-même. Cela faisait longtemps que tu n’avais pas été dans cet état. Après tu ne sais pas trop comment, tu as récupéré une serviette qu’une maquilleuse t’a laissé sur le rebord et tu t’es assis au fond sur une chaise en place te repliant sur toi-même en boule avec la serviette sur la tête. Tu laisses des larmes roulaient sur tes joues pendant que ton corps lui tremblent. Le pire est le rire que tu as pu entendre d’eux au début… Rires qui s’étaient mêlés à des rires anciens effrayants.. Tes doigts s’étaient enfoncés sur tes genoux au point de blanchir tes phalanges. Combien de temps tu resta dans cette position ? Aucune idée mais, pourtant tu pouvais entendre des pas précipité venir vers toi et tu te replias un peu plus défensivement. De peur que cette personne dont tu ne vois pas le visage te balance elle aussi dans l’eau. Tu peux entendre un essoufflement. Cette personne a courru ? Qui cela pouvait bien être ? Tu ne relèves pas la tête laissant tes longues mèches de cheveux recouvrir ton visage. Tu ne t’attendais pas à le voir quand son visage apparait à la hauteur du tiens et, que tu soulèves tes paupières pour ancrer tes iris dans les siens suite à l’entente de « sa » voix. Tu ne rêves pas, Xiao Yu était bien là. C’était bien lui qui te caresse doucement la tête. Tu n’aurais pas crus qu’il serait venu à toi.. Même devant lui, tu n’aimes pas être mal en point. Tu as toujours essayé d’être fort pour pouvoir t’occuper de lui afin de le changer doucement. De lui apprendre ce que c’est la douceur. Tu tiens énormément à lui et c’est pour cette raison que tu lui adresses bien souvent des gestes tendres parce que tu sais, qu’il déteste la solitude. Qu’il y a autre chose que l’image de Prince de Glace qu’il renvoie. Tu le laisses faire, tu es vidé de toute force et même parler tu en es incapable. Tu as froid.. Tu es encore sous le choc et ton corps tremble. Tu ne réponds pas à ses questions.. Le choc et la surprise de le voir là devant toi et attentionné t’en empêches. Trop surprise quand il te prend contre lui, c’est tellement inhabituel mais, au contraire tu le laisses faire comme sécher tes cheveux parce que tu en es incapable. Tu peux sentir sa chaleur, tu devrais t’écarter de lui pour qu’il n’attrape pas froid à cause de toi. Tu fermes les yeux humant doucement son odeur qui t’apaise étrangement. Le fait qu’il était inquiet te touche et machinalement tu réponds à son étreinte les mains tremblantes et t’accrochant à lui enfonçant ton visage contre son torse et d’une voix faible et fragile qui ne te ressemble pas tu souffles un :

« Merci.»

Merci qu’il soit là. Tu n’es pas seul, tu ne l’es plus. Tu leur as dis de dégager mais, la vérité c’est parce que tu étais effrayé qu’ils recommencent. Alors que tout ce que tu voulais c’est qu’une personne essaie de te rassurer. Du confort. Qu’on te laisse pas seul. Tu laisses couler quelques larmes pendant que ton corps tremble.

« Désolé… De t’avoir inquiété… Ce n’est pas grave… Tu es là maintenant… J’ai eu peur… Tellement.. Peur… Je ne veux plus voir ces visages.. J’ai crus que j’allais mour.. »

Tu ne pus jamais finir ta phrase car, les mots se perdirent dans ta gorge et tu t’accrochas plus fortement à lui, rien qu’à cette pensée. Ces visages… De ces hommes qui étaient venus pour toi. Les battements rapides du cœur de Xiao te rassurèrent cependant.. Tu l’avais réellement inquiété alors ?


« Ton... Coeur... Bat... Vite... Atchoum !! Tu devrais... T'écarter de moi... Je ne veux pas... Que... Tu tombes malade... Je.. »

Tu t'étais légèrement écarter juste assez pour croiser son regard. Tu étais vraiment faible. Tu avais l'impression d'être un enfant.. Cela ne te ressemblais pourtant.. Tu pouvais encore sentir la pression de leurs bras sur toi te poussant de force dans l'eau alors que tu leur avais demandé d'arrêter. Comme à cet homme qui était venu pour te tuer afin d'atteindre ton père...

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MessageSujet: Re: I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]   I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END] EmptyMer 23 Jan - 22:23

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Voir et entendre les pleurs de Ryu lui brisait le cœur (oui, il en avait un). Ses joues pâles recouvertes de stries et ses yeux brillants de peur. C'était sans doute la première fois que Xiao Yu le voyait dans cet état. Il semblait tellement fragile, prêt à se briser à tout moment. Ça le peinait de le voir comme ça, lui qui paraissait si sûr de lui et solide d'habitude. C'était un mélange de dégoût envers les personnes qui l'avaient poussé dans la piscine, de colère et de … peine ? Peiné de le voir ainsi prostré sur sa chaise, trempé jusqu'aux os en train de trembler de peur. Il n'avait pas dans l'habitude de consoler les gens et encore moins de les prendre dans ses bras de façon si tendre. D'ailleurs, il ne se souvenait même pas de quand il l'avait fait pour la dernière fois. Mais Ryu n'était pas n'importe qui. Et le voir dans cet état n'arrivait qu'à le rendre aussi fleur bleue que l'étaient ces crétins de couples. Visiblement, Ryu ne s'attendait pas à le voir arriver ici. En même temps, il y avait de quoi s'étonner. A vrai dire, il se surprenait lui même. Il ne s'était jamais connu aussi impulsif. La faible voix de l'autre le remerciant le fit resserrer son étreinte. Il se sentait comme face à un chiot blessé. Le genre de choses pour lesquelles Xiao n'était pas doué. Son manque de compassion l'handicapait vraiment dans ses relations. Ce n'était pas étonnant de le voir seul. Paradoxalement, il détestait la solitude. Et Ryu avait réussit à l'en sortir. Il avait toujours été là pour lui. Maintenant, c'était son tour. Une sorte de dette à payer. Et il la payerait autant de fois qu'il le faudrait si c'est pour revoir le japonais lui sourire comme il le faisait habituellement. « Désolé… De t’avoir inquiété… Ce n’est pas grave… Tu es là maintenant… J’ai eu peur… Tellement.. Peur… Je ne veux plus voir ces visages.. J’ai crus que j’allais mour.. » Xiao Yu fronça les sourcils. Il ne voulait pas que l'autre finisse sa phrase. « Ne dis pas ça. Tout va bien maintenant, et ne t'excuses pas.» Il aurait bien voulut rajouter que c'était lui qui s'excusait de ne pas être arrivé plus vite mais Qin Xiao Yu ne s'excusait jamais. Mais c'était ce genre de choses qu'il fallait dire dans cette situation non ? Tout va bien, je suis là, n'aies plus peur... En quoi le fait d'être présent réussirait à préserver l'autre ? Pour le préserver, le protèger ? Sans doute mais de toute façon, il n'était pas très doué pour comprendre ce que les autres voulaient. La preuve en était qu'il n'arrivait jamais à garder des relations avec les gens. Au fur et à mesure, ils se laissaient de lui, l'abandonnaient. Les seules fois ou il avait réussit à aimer et à le démontrer par des gestes, il devenait violent. Mais si jamais il faisait du mal à Ryu, il s'en voudrait pour toujours. Il l'avait déjà assez fait souffrir comme ça. Il voulait changer, devenir celui qui protégerait Ryu, qui le consolerait quand il aurait peur. Comme maintenant. Il ne savait juste pas comment s'y prendre. Il fut surpris de sentir la prise de Ryu se resserrer autour de son torse. Il passa ses mains dans les cheveux humides de l'autre, du haut du crâne jusqu'à la base du cou. Il se rappelait que sa mère lui faisait ça étant plus jeune. « Ton... Cœur... Bat... Vite... Atchoum !! Tu devrais... T'écarter de moi... Je ne veux pas... Que... Tu tombes malade... Je.. » Il se contenta d'un non ferme et sûr de lui mais ricana en l'entendant éternuer... (Oui il trouvait ça mignon, et alors ?) Il ne voulait pas le laisser. Il était un peu embarrassé que l'autre ait remarqué les battements accélérés de son cœur et il sentit ses joues se teindre de rouge. Il détourna du regard et s'éclaircit la voix avant d'ignorer la remarque. Si son cœur battait vite, c'était en partie parce qu'il avait couru bien sûr mais aussi à cause de l’inquiétude qui l'avait saisit à la gorge quand il avait entendu la nouvelle à la cafétéria. Il n'en revenait toujours pas que les autres de ne l'ait pas forcé à venir avec eux et l'ait laissé seul ici. « Je ne tombe jamais malade, imbécile. Restes comme ça un peu plus longtemps. » A vrai dire, il avait envie que Ryu reste dans ses bras. Il se sentait bien ainsi, serrant l'autre tout en lui caressant les cheveux. Il ne sourit pas quand l'autre releva la tête. Il n'avait pas envie de faire semblant avec lui. Il était en colère après le staff et ça se voyait dans ses mimiques. « Je n'arrive pas à croire qu'ils t'aient laissé ici seul ! » Il claqua la langue d'un air agacé et s'écarta de Ryu pour enlever sa veste et son écharpe et de les poser sur les épaules tremblantes du japonais. Il était trempé. Si seulement il avait pris sa voiture, il aurait pu l'emmener directement chez lui et lui prêter des vêtements secs. Mais bien sûr, sa bêtise l'avait trahie. Il ne manquait plus qu'à appeler un taxi. Mais pour l'instant, il ferait peut-être mieux de rassurer Ryu et de le sécher un minimum. Le pauvre devait crever de froid. Lui portait un gilet et un sous pull. Au moins, il avait résolu le problème pour le haut. Il enleva son gilet et posa sur les genoux de Ryu. « Enlève ta chemise, sinon c'est toi qui va tomber malade. Tiens, enfile ça. » Il devait sans doute y avoir une sorte d'endroit où ils entreposaient les objets perdus et oubliés ici non ? Il pourrait trouver une solution à son problème. Mais d'un autre coté, il ne voulait pas s'éloigner de Ryu. C'était parti pour être comme ça pendant plusieurs semaines. Aucune chance qu'il ne le laisse seul. Maintenant qu'il l'avait vu dans cet état, il connaissait le coté fragile de Ryu. Il resta accroupie devant ce dernier et commença à lui déboutonner sa chemise trempée avant de la remplacer par le gilet encore chaud et de l'enrouler dans son long manteau et son écharpe. Il lui frictionna les bras un moment et lui essuya les larmes d'un geste doux. Il n'avait pas grand chose à lui dire pour le réconforter si ce n'était de lui répéter qu'il était là maintenant et que tout irait bien. De toute manière, que pouvait-il rajouter d'autre ? Il se demandait vraiment lequel des deux avait le plus besoin de se faire consoler à cet instant. Il aimait tenir Kanzaki dans ses bras et de sentir son souffle près de son oreille. Il aimait son odeur sucrée et sa manière de sourire quand il n'avait pas le moral. Il aimait avoir Ryu près de lui, le sermonnant parce qu'il est trop brusque ou trop froid. Mais voir un Ryu dans cet état ne lui plaisait pas du tout. Il aurait bien voulut savoir qui l'avait poussé, comment cela s'était-il passé mais il doutait que ce n'était sûrement pas vraiment le moment pour ça. Visiblement, l'autre avait juste besoin de réconfort. Il s'assit à même le sol, ses jambes commençant à souffrir de sa position accroupie et entraîna doucement Ryu avec lui, l'asseyant sur ses cuisses et le serrant contre lui. Il appuya son front contre celui de l'autre et le regarda droit dans les yeux, continuant de passer sa main inlassablement dans ses cheveux. Il adorait quand Ryu les laissait longs comme maintenant.




Dernière édition par Qin Xiao Yu le Sam 26 Jan - 0:16, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]   I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END] EmptyJeu 24 Jan - 21:39

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 I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]




 

Tes lèvres s’étirèrent très légèrement à la vision de sa réaction gênée suite à ta remarque sur les battements de son cœur. Tu étais gelé mais, tu ne pouvais t’empêcher malgré tout de vouloir le sourire. Votre relation à tous les deux ? Elle est inexplicable et incontrôlable. Vous n’êtes même pas amants puisque tu n’es jamais allé au-delà du baisé avec lui. Tu n’es pas amoureux de lui mais, tu es rattaché à lui depuis que tu es venu à son aide alors que rien ne t’y poussait. Tu ne voulais pas t’écarter de lui tu avais besoin de sa chaleur et dans ses bras à cet instant, tu te sentais en sécurité. Tu avais l’impression par ses gestes maladroits et inhabituels que tu comptais réellement pour lui. Tu le savais au fond, qu’il tenait à toi mais, c’était la première fois qu’il te le montrait réellement. Tu aurais pu tomber amoureux de lui mais, ton cœur est pris par quelqu’un d’autre à ton grand damn. Xiao Yu était spécial à tes yeux et, pour cela que même dans cet état pitoyable et fragile tu ne pouvais t’empêcher de penser à sa santé avant la tienne. Le petit rire qu’il avait eu à ton éternuement, te réchauffa un peu intérieurement. C’était tellement rare qu’il laissait ses sentiments le guidaient. Tu ne dis rien pour le moment et, tu n’essayas pas de le contredire sur le fait qu’il ne tombait qu’en de rares occasions malade. Tu ne te fis pas prier et enfouit ton visage au creux de son cou appréciant son odeur exotique. Comme il te l’a dit plus tôt, il était là désormais et te tenait dans ses bras. Tu pouvais te laisser aller, tu ne craignais plus rien tant qu’il était à tes côtés. Tu finis cependant par reprendre doucement :

« Ton rire… Il m’a manqué..»

C’était à peine audible mais, tu étais certain qu’il l’avait entendu. Après tout, tu étais tout contre lui avec le silence. Tu avais l’impression que vous étiez dans une bulle un monde rien qu’à vous. Ce qui arrivait souvent quand tu te retrouvais tout seul avec lui. Tu aimais son rire et tu aimais le voir sourire. Au moins tu étais rassuré sur le fait qu’il ne se referme pas sur lui-même. Tu t’humectes les lèvres quand tu peux entendre le claquement de sa langue contre son palais et la suite de ses paroles. Tu voulais lui dire que tu étais responsable de cet « abandon ». Après tout, c’est toi qui leur a dit de dégager. Tu le sens se relever cependant, tu ne relèves pas la tête pour voir ce qu’il était en train de faire. Cette chaleur qui venait soudainement de s’extirper de toi, créant un sentiment de panique. Tu ne voulais pas qu’il parte ou qu’il te laisse tout seul ici dans cet « enfer ». Tu détestais ce lieu mais, tu fus rassuré par ses paroles et en sentant soudainement un poids sur tes épaules sans parler du gilet qui fut déposé doucement par ses soins sur tes genoux. Tu voulais lui dire de garder ses vêtements. Pourtant, il ne te laissa pas le temps de parler quand il te déboutonna. Ce geste te valut des frissons plus forts mais, pas seulement à cause du froid mais, à cause de ses mains qui étaient obligées d’effleurer ta peau. Tu n’opposas aucune résistance, tu l’aidas en levant tes bras pour enfiler le gilet et quand ce fut fait, tu t’accrochas de nouveau à lui pendant qu’il te frictionna avec sa veste une fois que ton cou fut entouré de son écharpe. Tu avais plus chaud tu avais l’impression d’être dans un cocon et, tu ne voulais plus le lâcher. Tu avais juste besoin de sa présence et, ce qu’il est en train de faire pour toi est plus que ce que tu pouvais lui demander. Tu fermes doucement les paupières pendant qu’il essuie tes larmes. Tu te sentais vraiment privilégié et important. Tant de douceur dans ses gestes tu ne pouvais que te laisser plus aller contre lui et le suivre quand il décida de s’assoir et de te mettre sur ses genoux. Assis à cheval sur ses cuisses, tu plongeas ton regard dans son regard sombre que tu as toujours trouvé captivant. Tu soupires doucement de bien être quand vos fronts se retrouvent collés l’un à l’autre. Tu ne voulais pas qu’il arrête ses gestes. Tu remontas doucement tes mains jusqu’à sa nuque pendant que, tes pouces faisaient des mouvements circulaires sur ses joues doucement. Tu finis par fermer tes yeux, tu sentais qu’il fallait que tu le rassures. C’est vrai que tu avais besoin de lui pourtant, tu pouvais sentir que XIao en avait autant besoin que toi. Que tu le rassures sur le fait que tu ailles bien. Même si c’était faux, que tu n’étais pas remis du choc que tu venais d’avoir il fallait que tu agisses. Dise quelque chose. Le remercier aussi par des paroles et des gestes.

« Merci. Ne t’en fais pas, je vais mieux… Maintenant que tu es là. Ne t’inquiètes plus.»

Ce n’était qu’un chuchotement, un simple chuchotement pendant que tu ouvris de nouveau les yeux avant de reprendre doucement après avoir déposé doucement tes lèvres sur sa joue pendant que tes deux mains passent derrière sa nuque et ses cheveux bruns avec lesquels tu jouas doucement de tes mains tremblantes :

«Xia… Je peux t’embrasser ?»

Ce n’était qu’une demande d’une toute petite voix. Tu avais besoin de le sentir près de toi. Oui, vous étiez proches mais, tu avais besoin de plus. Tu n’étais pas dans ton état habituel. Tu attendis à peine sa réponse quand doucement tu déposas délicatement tes lèvres sur les siennes, ton regard, toujours ancré dans le sien. Tu déposas des baisés de papillons sur ses lèvres plusieurs fois avant de les mordiller légèrement avec tes dents pour que tu en aies l’accès. L’accès te fut accordé bien vite et tu poussas légèrement sa tête vers toi pour l’avoir encore plus proches voir collé. L’échange fut doux au début comme tu avais l’habitude de donner avant de devenir plus vorace. Tu laissas déverser tes sentiments, ta peur, tes inquiétudes. Tu soupiras plusieurs fois pendant cet échange qui devenait plus en plus brouillon et audacieux. Vos langues cherchaient à dominer l’autre dans ce ballet sensuel que vous étiez en train de créer avec vos langues. Tu ne voulais pas que cet échange entre vous s’arrête. Tu te sentais transporté dans un autre monde, tes mains s’enfonçaient dans sa chevelure jamais, tu n’avais été aussi impulsif. Tu avais fermé les yeux quand le baiser est devenu plus profond. Cependant l’air commençait à te manquer terriblement et, c’est à contre-cœur que tu y mets fin pour reprendre ton souffle mais, aussi avant que cela n’aille trop loin. Tes lèvres restèrent à proximités des siennes, les effleurant toujours pendant que ta respiration est bruyante. Tu n’as toujours pas soulevé tes paupières pendant que tes mains sont venues se poser sur ses joues pour tenir son visage :

«Je… »

Que pouvais-tu dire après ça ? Cet échange avait été plus fort que d’habitude. Ta respiration haletante. Tu finis par continuer quand même pendant que ton visage se pose sur son menton pendant, que tes bras s’enroulent à nouveau autour de sa nuque. Ton visage était rougit à cause de la densité du baisé mais, aussi parce que tu n’avais pensé à rien d’autre que dévorer ses lèvres.

«C’était.. Cela m’a manqué… Xiao S’il te plait… Sors-moi de cet endroit… Est-ce que je peux… Rester chez toi ? J’ai mes clefs de voiture et ma voiture garée en face. Je ne peux pas rentrer à mon appartement… Tu pourras repartir.. Tu as certainement du travail à l’agence mais… Je ne veux plus rester ici.»


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MessageSujet: Re: I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]   I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END] EmptySam 26 Jan - 0:25

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Xiao Yu était un peu embarrassé face à la remarque de Ryu quand à son rire mais garda tout de même un visage parfaitement neutre. A force, il avait appris à se contrôler, à filtrer ses sentiments et à être et paraître froid. D'un coté, il l'était. Mais ça ressemblait plus à une protection qu'autre chose. Il avait connu la douleur de se faire trahir par un être cher alors il blindait ses sentiments et ne laissait jamais personne les atteindre. Mais ainsi, tenant Ryu contre son corps, le réchauffant tant bien que mal, il se laissait aller. C'était tellement agréable de sentir la chaleur d'une autre personne, de sentir son cœur battre contre sa poitrine et de se savoir important pour lui. Il était certain que Ryu ne l'abandonnerait pas comme l'avait fait son premier amour en Italie. Non, il avait une totale confiance en Ryu. Leur relation s'établissait en une sorte d'amitié fusionnelle. Non, c'était plus que ça. Indéfinissable. Quelque chose d'étrange et de confus mais qui pourtant paraissait parfaitement normal. De l'embrasser et de prendre soin de lui, ce genre de choses... Il se sentait détendu dans cette étreinte. Il pouvait baisser sa garde et se laisser aller dans les bras de l'autre.
Quand il se releva pour lui enfiler son gilet et pour déboutonner sa chemise, cela semblait tellement naturel. Beaucoup de personnes auraient pu se méprendre sur leur relation, se dire qu'ils étaient en couple ou amoureux. C'était faux. Ça y ressemblait beaucoup, mais il sentait au plus profond de lui que c'était autre chose. Quelque chose de plus doux et de moins douloureux à ses yeux. L'amour faisait souffrir alors que cette relation l'apaisait. Il était heureux de sentir les bras de Ryu s'enrouler autour de son cou pour s'accrocher à lui comme si sa vie en dépendait. Il se sentait important et choyé. Quoi qu'à la base, ce devait être le contraire. C'était l'autre qui avait besoin d'attention et de soins, mais il ne pouvait pas s'empêcher d'en profiter un maximum. Quand il l'attira sur ses genoux, il soupira de contentement. S'il avait pu, il serait resté comme ça toute la journée. Ryu contre lui, front contre front et se regardant droit dans les yeux, avec une certaine tendresse sans doute invisible dans ceux de Xiao Yu. Pourtant, il n'en pensait pas moins. Il lui semblait bien que c'était la première fois qu'il était aussi protecteur et doux avec quelqu'un. Quand il aimait trop, il devenait violent. C'était plus fort que lui, il n'arrivait pas à exprimer ses sentiments autrement. Mais là, il n'envisageait même pas la possibilité de faire du mal à Ryu. Il appuya sa joue contre la main de Ryu qui passait et repassait ses pouces sur ses joues, y dessinant de petits cercles. Il voulait garder ce contact aussi longtemps qu'il le pouvait. Il entre-ferma les paupières, observant le visage de l'autre, descendant son regard sur ses lèvres avant de les remonter et de sourire en le voyant fermer les yeux lui aussi. Il ne dit rien quand l'autre lui assura d'une voix douce qu'il allait mieux mais il était satisfait de savoir qu'il avait réussit à le rassurer un minimum. Malgré tout, il aimait ça. Aider ceux qu'il chérissait, être là pour eux...

Il se sentait complètement partir avec les massages de Ryu sur sa nuque et ses joues. C'était agréable. Il resserra sa prise sur les hanches de Kanzaki et le rapprocha encore plus de lui. Xiao Yu ferma entièrement les yeux en sentant un souffle chaud sur sa joue et deux lèvres y déposer un baiser avant de s'éclipser aussi vite. C'était frustrant. Comme s'il lisait dans ses pensées, le japonais lui demanda en chuchotant s'il pouvait l'embrasser. Avait-il vraiment besoin de réponse ? Visiblement non puisqu'il pas même le temps d'acquiescer que la bouche de son compagnon se posa délicatement sur la sienne. C'était incroyablement doux. Différent de leurs baisers habituels. Ceux qu'ils s'échangeaient comme si c'était parfaitement normal. Ces moments qu'il n'échangerait pour rien au monde. Mais ce baiser semblait presque désespéré. C'était peut-être le contexte dans lequel ils le partageaient ou le fait que les longs doigts de l'autre s’enfonçaient dans ses cheveux, mais il était différent. Il entrouvrit une nouvelle fois les yeux pour voir ceux de Ryu ouverts. Il abandonna ses hanches de avant de remonter ses mains vers sa nuque et de pousser un grognement de frustration quand l'autre se contenta de bises papillons. Ryu lui mordillait les lèvres de façon à ce qu'il les entrouvre et qu'ils approfondissent ensemble le baiser. Il ne pensait plus à rien. Juste à l'envie de dévorer sa bouche, de la recouvrir de baisers jusqu'à qu'elle prenne une teinte rouge. Ils se laissaient un peu trop aller. Mais sans doute Ryu en avait-il besoin ? Il n'en savait rien, il se laissait complètement faire. Une marionnette entre ses mains. Il laissait parfois échapper quelques soupirs de plaisir, résonnant dans la salle vide. Il savait que ça déraperait s'ils continuaient ainsi. Xiao Yu le savait du moins. Bien trop vite, il sentit les lèvres du japonais se décoller des siennes. Il tenta de les reprendre, fixant avec un désir non feint la bouche humide et souhaitant continuer le baiser, mais se rattrapa bien vite. Les mains désormais réchauffées de Ryu se posèrent sur ses joues brûlantes. Leurs souffles erratiques se mélangeaient, leurs bouches à quelques centimètres l'une de l'autre... Il attrapa sa main pour y déposer une bise et entrelacer leurs doigts, les observant entremêlés. Il n'avait pas remarqué le visage rouge pivoine de l'autre et continuait de jouer avec leurs mains tel un gosse, mêlant une certaine fascination avec une pleine satisfaction. « C’était.. Cela m’a manqué… Xiao S’il te plait… Sors-moi de cet endroit… Est-ce que je peux… Rester chez toi ? J’ai mes clefs de voiture et ma voiture garée en face. Je ne peux pas rentrer à mon appartement… Tu pourras repartir.. Tu as certainement du travail à l’agence mais… Je ne veux plus rester ici. » Xiao détourna son regard de leurs doigts entrelacés pour le poser dans les yeux de Ryu. Bien sûr qu'ils allaient bouger d'ici. Pendant juste un instant, il avait tout oublié. La voix de Ryu l'avait rappelé à l'ordre. Mais l'autre n'était pas venue avec le van du staff ? Enfin, ce n'était pas important de toute façon. Il ne savait même ce que Ryu était venu foutre à la piscine et s'en contrefichait totalement. Tout ce qui comptait, c'était que l'autre allait bien désormais. Enfin, il l’espérait. Mais ça paraissait tout de même logique que Ryu n'apprécie pas cet endroit, il aurait dû y penser plus tôt.

Il se dégagea avec regret de leur étreinte et aida le japonais à se relever.. « Bien sûr. Allons-y, tu vas attraper froid. » Aussitôt debout, il lui attrapa la main automatiquement et l'emmena dehors. Il ne devait plus y avoir grand monde. A vrai dire, il n'y avait personne, ni dans le hall dans sur le parking si ce n'était la vieille femme de ménage qui marmonnait toute seule dans son coin. Enfin, Xiao Yu se contenta de l'ignorer comme toutes les personnes ne l'intéressant pas le moins du monde, soit, les trois quart de la planète. Il ne lâchait toujours pas la main de Ryu, comme ayant peur que ce dernier ne disparaisse tout à coup. Une seule voiture était garée sur le parking. Il prit les clefs du véhicules directement dans la poche avant du pantalon du japonais avant de lui ouvrir la porte de le laisser s'installer à l'avant. Il dû abandonner la dextre qu'il tenait serrée entre ses doigts depuis tout à l'heure, à son plus grand regret. Il s'installa à la place de conducteur. De toute façon, il se doutait bien que Ryu n'était pas en mesure de conduire, sinon, il ne lui aurait pas demandé de l'accompagner. Il ne savait pas vraiment quoi dire à Ryu. Était-il encore effrayé ? Sans aucun doute. Mais il considérait les paroles comme inutiles dans ce genre de moment. A ces yeux, seuls les actes comptaient. Inutile de déblatérer pendant deux heures des flots de paroles incessants. Surtout quand c'était des conneries plus grosses que lui. Il fallait avouer que niveau niaiserie, il avait donné aujourd'hui. Il préféra poser sa main sur la cuisse du Japonais et de démarrer le moteur. Le trajet se fit finalement assez vite. Il lui suffirait de prendre un taxi demain matin pour récupérer son propre véhicule à l'agence. A moins que Ryu ne reste dormir ce qui risquait d'être très probable. Il était hors de question qu'il le laisse partir le soir même. « Je vais rester avec toi jusqu'à demain. Je suppose que l'agence est au courant que tu ne reviendras pas bosser aujourd'hui non ? » Et puis, ce n'était pas vraiment important. Au bout d'une bonne demi heure, ils arrivèrent enfin à l'appartement de Xiao Yu. C'était là tout l’intérêt d'habiter près de routes peu fréquentées à ce créneau d'horaire là. Le total opposé que du coté de l'agence. Il se gara dans le parking souterrain et montèrent vite aux étages supérieurs. Aussitôt entrés, il installa Ryu sur le grand canapé blanc. « Ne bouges pas mon ange, je vais te chercher des vêtements. » Mon ange. Oh. Il avait atteint le sommet de la stupidité affective. Mon ange. Et le pire c'était que ce stupide surnom était sorti tout seul. Il avait envie de s'enterrer mais garda un air impassible et s'éclipsa sa chambre. Il attrapa un tee shirt large, des sous vêtements secs et un jogging dans son armoire et les donna à Ryu. Il ne pensa même pas à lui demander s'il voulait prendre une douche, il pensait bien que l'autre avait eu sa dose en ce qui concernait l'aquatique aujourd'hui. Il se contenta d'une serviette. Il revint dans la salle et s'installa à coté de Ryu. Il passa la serviette autour du cou du Japonais, et lui déposa un baiser juste en dessous de l'oreille. « Va te changer. » Sans doute allaient-ils se contenter de s'allonger dans les bras l'un de l'autre, recouverts de couvertures et Xiao Yu observant Ryu dormir exténué. Il s'imaginait déjà la scène à vrai dire. Il resterait avec lui pour le veiller. Et accessoirement profiter de ce moment calme durant lequel il se sentait important aux yeux de quelqu'un. Tout en prenant soin de Ryu au moindre problème. Il ne le lâcherait pas avant qu'il ait l'assurance que il se soit totalement remis.


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MessageSujet: Re: I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END]   I should have come earlier ... ft. Kanzaki Ryu [END] EmptySam 26 Jan - 14:18

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Tu ne voulais pas lâcher cette main même pour tout l’or du monde. C’était ton repère en cet instant, la personne qui te réconforté mais, aussi la personne en qui tu faisais le plus confiance. Pour rien au monde tu changerais cette relation qui t’était vitale. Au fond, tous les deux vous vous ressemblez plus que vous ne le laissez paraître. Tu te relèves grâce à son aide et, tu regardes juste vos doigts entrelacés. Tout ce qui t’entoure n’est rien comparé à cette main. Tu avais l’impression d’être un enfant mais, pour une fois cela ne te dérangeait pas d’être celui qu’on trainait. Tu le fis quand même arrêter à l’accueil pour reprendre ton sac où il y avait le reste de tes affaires mais, tu ne souris pas. Tu te fichais bien du regard de cette femme qui semblait désolée. Tu ne voulais pas croiser son regard et, de toute façon tu n’avais pas de temps à perdre. Tu étais certain que tu récupérerais plus vite une fois sortit de cet endroit. Tu récupéras ton sac et sortit à la suite de Xiao Yu. Tu resserras ton emprise sur sa main tant pis, si cela te faisait passer pour une demoiselle en détresse. Tu n’étais plus à ça près maintenant. Yu venait de voir le côté de ta personnalité que tu détestais montrer à quiconque. Montrer sa faiblesse ne fait pas partie de ton vocabulaire mais, il faut croire que te retrouver devant une étendue d’eau te fait perdre tous tes moyens. Arrivé devant ta voiture, tu le laisses devenir maître des opérations et prendre ta clef de voiture tout en le laissant prendre soin de toi. C’était « nouveau » de sa part mais, tu appréciais comme le silence. Tu connaissais parfaitement l’autre manager pour savoir que les mots n’étaient pas son fort et de plus, bien souvent les gestes parlaient plus qu’un flot de paroles. Tu mis ta ceinture une fois installé à l’intérieur de ton véhicule du côté passager avant de te retourner vers lui quand tu sentis sa main sur ta cuisse. Un fin sourire à peine perceptible étira tes lèvres avant que tu viennes poser doucement ta main sur cette dernière et la caresser avec ton pouce. Tu ne voulais pas non plus lâcher cette main et tu finis par regarder toi aussi droit devant toi. Alors, tu n’allais pas rester seul pour le reste de la journée ? Cela te plaisait. Cela faisait un moment que tu n’avais pas été invité à son appartement. Ces derniers temps ce n’est pas le travail qui a manqué alors, passer ne serait-ce qu’un moment qu’avec l’autre jeune homme fut mission impossible et, ce depuis un mois. Alors oui, l’embrasser comme tu l’avais fait, cela faisait un moment que tu le désirais. Tu n’avais laissé qu’un « mmh » franchir tes lèvres à sa question sur le fait que le staff devait être au courant que tu ne reviendrais pas. Ils devaient s’en douter fut l’état dans lequel ils t’ont laissé. Tu allais devoir assumer leurs regards demain mais, tu ne voulais pas y penser. Pas maintenant alors que tu avais Xiao près de toi. Tu te battis contre l’envie de dormir. Tu ne voulais pas être un poids supplémentaire pour la personne précieuse à tes yeux qui se tenait à tes côtés. Finalement, ce fut au bout d’une demi-heure que vous êtes arrivés à destination. Tu le suivis et, sortis de la voiture avec ton sac avant d’entrelacer vos doigts ensemble.

Quand tu entras dans l’appartement tu te rendis compte que rien n’avait changé depuis la dernière fois. Ce n’était pas étonnant. Tu te laissas mener au canapé mais, tu te mis soudainement à rougir au surnom qu’il te donna. Si tu étais en train de boire, tu aurais probablement bu de travers. C’était la première fois qu’il te donner un surnom et, avant que tu puisses dire quoi que ce soit, il avait déjà disparu de ton champ de vision. Ce fut l’instant que tu profitas de rire doucement. Finalement, il changeait doucement mais, sûrement. Tu t’étais vite calmé et, quand il est revenu avec les vêtements propres. Tu le laissas mettre la serviette autour du cou et tu frissonnas un peu suite à ce baisé à l’un de tes points sensibles et ce souffle chaud. Tu lui offres un sourire avant d’enlever l’écharpe et la veste qu’il t’avait donnée. Tu décidas de prendre son menton entre tes doigts et de lui sourire doucement avant de prendre ses lèvres entre les tiennes pour un tendre baisé sans chercher à approfondir. Tu bécotes plusieurs fois ses lèvres tendrement et tu finis par dire :

« Merci mon prince ~ Mais, tu devrais te changer aussi ! Je reviens vite »

Tu finis pas lui déposer un baisé sur sa joue avant de te lever doucement avec les affaires propres qu’il t’a emmené pour te diriger vers la salle de bain. Une fois arrivé à l’intérieur tu fermes la porte mais, pas à clef après tout tu lui fais confiance. Tu n’as pas envie de le laisser seul trop longtemps alors tu fais tout pour te sécher vite fait et enfiler les vêtements qu’il t’a passé. Tu retires doucement tes chaussures que tu mets dans un coin de la pièce et te déshabille et espérant qu’il en fasse de même de son côté tu n’as pas envie qu’il attrape fois. Une fois que tu as enfilé ses vêtements un peu trop grand pour toi, faut qu’il mesure au moins une bonne dizaine de centimètres de plus que toi, tu finis par sortir de la salle de bain pieds-nus après avoir mis tes affaires dans la corbeille vers le salon où il n’est plus. Tu profites de couvrir le bas de ton visage de son t-shirt pour humer son odeur même minime. Elle avait réellement le don de te rassurer. Tu décidas de te rendre dans sa chambre et, frappa deux coups pour demander la permission de rentrer. Quand tu l’entendis et, le vit enfiler son haut te rapprochas de lui d’un pas de félin avant de l’entourer de tes deux bras autour de sa taille et de te mettre sur la pointe des pieds pour déposer tes lèvres sous son menton avant de dériver sur la mâchoire avant de t’écarter un peu pour mieux voir son visage :

« Tu.. Sais.. Tu peux prendre une douche même si.. C’est tôt. Je ne vais pas m’envoler.. Et, je n’en ai pas envie. On a du temps à rattraper non ?»

Tu te doutais de sa réponse, avec un dernier baisé et tes mains sur ses hanches tu le poussas en direction du lit avant le forcer à s’assoir afin que tu t’assoies en califourchon sur lui pendant que tes jambes entourent sa taille et tes bras sa nuque et tu fais dans un murmure :

«Merci vraiment.. Je ne sais pas ce que j’aurais fait… Cela te dit que je prépare les dîner pour ce soir ? Bien que là j’ai sommeil.. »

Tu te mis à bailler avec une main devant la bouche. Tu étais exténué. Mais, tu décida d’échanger un autre baisé langoureux avec lui en venant une nouvelle fois capturer ses lèvres des tiennes. Tu laisses plusieurs soupires et autres bruits pendant cet échange lascif. Tu commences à avoir doucement chaud. Mais, ces lèvres t’ont toujours hypnotisé et, sont comme une drogue pour toi pendant que tes mains se sont posées sur ses douces épaules. Tu as fermé les yeux durant l’échange et, encore une fois tu y mets fin bien que tu bécotes plusieurs fois ces lèvres qui sont à ta portée. Tu es léfèrement essoufflé et tu finis par le pousser doucement sur le dos et t’allonger sur lui collant ton corps au sien avant qu’un autre bâillement te prend. Tu peux sentir ses bras autour de ton corps et, tu sens un cocon. Sans oublier les battements de son cœur qui te bercent. Finalement tu t’endors assez facilement ta tête contre son corse et tes bras autour de sa taille.

** ** ** ** **

Tu sens un souffle chaud qui te donne des frissons. Tu papillonnes des yeux et, te les frotte doucement avant de voir le visage de Xiao au-dessus de toi. Un sourire apparait avant de lui demander doucement :

«MM .. J’ai dormi longtemps ? Ne me dis pas que tu m’as regardé dormir tour le temps ?»


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